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МегаЛекции

Основные типы внешнего окружения




Выделяют следующие основные типы внешней среды:

1. Изменяющаяся среда, которая характеризуется быстрыми переменами. Это могут быть технические инновации, экономические перемены (изменение уровня инфляции), изменения законодательства, новшества в политике конкурентов и т.д. Такая нестабильная среда, которая создает большие трудности для управления, присуща российскому рынку.

2. Враждебное окружение, создаваемое жесткой конкуренцией, борьбой за потребителей и рынки сбыта. Такая среда присуща, например, автомобильной промышленности США и стран Западной Европы, США и Японии.

3. Разнообразное окружение свойственно глобальному бизнесу. Типичным примером глобального бизнеса является фирма McDonalds, работающая во многих странах (а, следовательно, связанная с обслуживанием многочисленных клиентов, говорящих на различных языках), с разнообразными культурами и гастрономическими вкусами потребителей. Это разнообразное окружение влияет на деятельность фирмы, на ее политику воздействия на потребителей.

4. Технически сложная среда. В такой среде развивается электроника, вычислительная техника, телекоммуникации, которые требуют сложной информации и высококвалифицированного обслуживающего персонала. Стратегическое управление предприятиями в технически сложной среде должно быть ориентировано на инновации, так как изделия в этом случае быстро устаревают.

(В.Д. Маркова, С.А. Кузнецова. Стратегический менеджмент. М., 2002)

17. Traduisez en français:

1. Стратегия и тактика хозяйственной деятельности предприятия определяются запросами потребителей, уровнем конкуренции, уровнем спроса. w 2. Чтобы быть конкурентоспособными, предприятия должны учитывать современный уровень развития технологии, то есть использовать технологические нововведения и достижения науки и техники. w 3. Политические условия хозяйственной деятельности предприятия определяются связями, которые предприятие поддерживает с государством. w 4. Правовые условия хозяйственной деятельности предприятия определяются трудовым, коммерческим, налоговым и др. видами законодательства. w 5. Социальные условия хозяйственной деятельности предприятия связаны с социальными отношениями и культурой общества. w 6. Чтобы успешно функционировать, предприятие должно учитывать все условия своей хозяйственной деятельности не изолированно, а в их взаимосвязи и взаимодействии. w 7. Условия хозяйственной деятельности предприятия могут рассматриваться на местном, национальном и международном уровнях. w 8. В процессе своей экономической деятельности предприятие не должно загрязнять окружающую среду. w 9. Изменение внешних условий деятельности (социальных, правовых и др.) оказывает влияние на предприятие, которое, в свою очередь, может влиять на окружающую среду. w 10. Глобальная информационная сеть Интернет и новые информационные технологии являются неотъемлемой составной частью внешней среды, в которой действуют современные предприятия.

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Espace internautes

Pour approfondir vos connaissances sur ce thème.

Ø Retrouvez dans les sites www.jss.fr et www.societe.com les avantages et inconvénients des différentes formes juridiques de l’entreprise.

Ø Après avoir consulté le site pratique de l’entreprise www.lentreprise.com (voir espace création ) dites à quels pièges les créateurs d’entreprise doivent-ils faire face au moment du choix de la forme juridique de leur future entreprise.


MODULE 25

MONDIALISATION/GLOBALISATION ECONOMIQUE

Lexique actif

1. Rappelez-vous les définitions et les équivalents russes des termes suivants des modules 1-24:

marché (2) w placement (3) w fonds de placement (4) w investissement (4) w flux (4) w salaire (4) w environnement (8) w mondialisation (8) w globalisation (8) w diversification (9) w filiale (10) w main-d’oeuvre (11) w firme (11) w innovation (13) w délocalisation (13) w coût de production (13) w fusion (13) w acquisition (13) w réseau (24).

2. Etudiez les définitions et les équivalents russes des termes suivants:

Organisation mondiale du commerce (OMC) Всемирная торговая организация (ВТО) Organisme permanent, fondé en 1995 et siégeant à Genève, chargé de réguler les échanges commerciaux mondiaux.
Zone(f) de libre échange зона свободной торговли Ensemble de pays ayant supprimé les obstacles douaniers applicables aux marchandises produites sur leur territoire.
Bon marché дешевый; дешево A bas prix. Meilleur marché – дешевле, по более назкой цене
Marché(m) émergent развивающийся рынок Marché qui va se développer dans le futur.
Pays(m)émergent страна с развивающейся экономикой Pays dont l’économie traverse, depuis relativement peu de temps, une phase de développement économique.
Triade(f) страны Триады (США, Япония и Евросоюз) Les Etats-Unis, le Japon et l’Union européenne qui constituent trois pôles dominants de l’économie mondiale disposant d’une zone d’influence étendue.
Sous-traitance(f) субподряд Contrat de cession d’une partie de la production.
Firme(f) multinationale (FMN) многонациональная корпорация (МНК) Entreprise de grande dimension implantée dans plusieurs pays.
S’implanter внедряться, размещаться S’installer durablement.
Cahier(m) des charges технические требования (к изделию); перечень обязательств (партнера); спецификация Document qui établit les obligations réciproques d’un fournisseur et d’un client, notamment en ce qui concerne les caractéristiques techniques du produit, du projet à fournir.
Produit(m)semi-fini полуфабрикат Produit partiellement transformé qui est destiné à entrer dans une nouvelle phase de la production.
Frêt(m) фрахт; перевозимый груз a) Rémunération due par l’affrêteur, ou expéditeur de marchandises, pour le transport par navire, avion ou camion. b) Cargaison.
Chaîne(f) de valeur последовательность образования стоимости Succession d’activités qui permet à l’entreprise de produire de la valeur.
Libéralisation(f) либерализация Action de libéraliser, c’est-à-dire de rendre un régime, une économie plus libéraux, en particulier en diminuant les interventions de l’Etat.
Allocation(f) пособие; распределение; ассигнование, выделение a) Somme d’argent ou un avantage en nature que la sécurité sociale ou un organisme similaire accorde à un agent économique dans le but de compléter les ressources financières de cet agent économique ou pour réduire les inégalités sociales. b) Action de destiner une ressource (une somme d’argent, une matière première...) à un emploi déterminé.

Texte 1

2. Consignes pour l'étude du texte:

a) Pour vous faire une idée du contenu général du texte, lisez le titre, les sous-titres, les attaques des paragraphes (premières lignes des alinéas), les passages entre parenthèses et entre les guillemets.

b) Dans chaque alinéa du texte, relevez les mots de liaison (connecteurs logiques) qui marquent les rapports de cause, conséquence, concession ou opposition.

c) Lisez tout le texte en vue de faire son plan d'ensemble (mots clés pour chaque alinéa reliés par des connecteurs logiques).

Mondialisation de l’économie et entreprise

Les stratégies des firmes dans l’économie mondiale

Selon P.Lamy [6], «La globalisation est d’abord un phénomène économique dont le capitalisme de marché est le principe dynamique: dans leur quête de nouveaux marchés, de nouveaux produits, de sources alternatives de matières premières et d’énergie et surtout de main-d’œuvre meilleur marché, les grandes entreprises multinationales et un essaim grossissant de PME innovantes, y compris dans des secteurs traditionnels, ont multipliés, souvent de pair, les innovations technologiques et les changements organisationnels et, ce faisant, ont fait advenir firmes globales, marchés mondialisés et réseaux planétaires d’information, de service et de sous-traitance».

L’essor de l’investissement à l’étranger

Parmi les différentes dimensions de la mondialisation, le développement des firmes multinationales est sans doute l’une des plus mises en évidence. L’image générale retenue est celle des grandes firmes agissant à une échelle planétaire mais le phénomène dépasse cette apparence. C’est ainsi que le rapport de la CNUCED [7] sur l’investissement direct dans le monde fait apparaître la diversité de l’univers des firmes multinationales, en signalant, dans le rapport de l’an 2000, le «nombre croissant de petites et moyennes entreprises, de sociétés d’Europe centrale et orientale qui ne sont engagées que depuis peu de temps dans la production internationale».

Depuis les années 60, le fait marquant en matière d’investissement direct à l’étranger est la généralisation du phénomène, avec une diversification croissante des pays d’origine des flux d’investissement et l’accès de firmes relativement petites à cet instrument. Il existe donc une généralisation de l’organisation de la production à une échelle internationale, qui peut passer par la mise en place d’un réseau de filiales spécialisées dans la réalisation d’une étape du processus de production, mais aussi parvenir au même résultat par d’autres moyens.

L’organisation de la production à l’échelle internationale

C’est ainsi que dans des secteurs comme ceux de l’habillement ou du cuir, des petites entreprises originaires de pays développés, telle la France, ont pu résister à la concurrence internationale en allant produire dans des pays à bas salaires, comme les pays d’Asie, du Maghreb ou d’Europe centrale ou orientale. Ces firmes petites ou moyennes ont pu profiter des avantages comparatifs existant dans les pays à faibles salaires sans devenir multinationales, en utilisant les possibilités offertes par la sous-traitance internationale. Les producteurs locaux des pays en développement se conforment à un cahier des charges établi par le donneur d’ordre implanté dans le pays développé. Ils vont, la plupart du temps, effectuer des transformations sur un produit semi-fini provenant du donneur d’ordre; la production sera ensuite expédiée au donneur d’ordre qui commercialise le produit sous sa marque.

Cette forme d’organisation de la production internationale connaît une dynamique marquée: les firmes des premiers pays ayant joué le rôle de sous-traitants internationaux (République de Corée, Hong Kong, Singapour, Taïwan) sont progressivement devenues des producteurs sous leurs propres marques et ont, à leur tour, procédé à une délocalisation des opérations intensives en travail dans des pays voisins à faibles niveaux de salaire (tout d’abord, Indonésie, Malaisie, Philippines, Thaïlande, puis Chine).

Pour autant, cette utilisation de la décomposition internationale du processus de production n’a pas impliqué la disparition de l’industrie de l’habillement dans les pays les plus développés. Si la loi du prix unique n’est pas vérifiée pour des produits homogènes, comme nous l’avons vu, ce qui est le signe d’une forme de préférence des consommateurs pour les productions locales, il est évident que les produits de l’habillement fabriqués dans les pays à bas salaires ne concurrencent pas la totalité des productions, en particulier celles relevant du haut de gamme et celles pour lesquelles la commercialisation se fait en petites séries pour pouvoir réagir rapidement aux goûts des consommateurs.

Les firmes multinationales ou la production en réseaux

Dans d’autres secteurs, les réseaux internationaux de production se sont constitués à l’initiative des firmes multinationales; c’est notamment le cas pour ce qui est sans doute le secteur le plus mondialisé de tous, l’industrie électronique, qui connaît un commerce international marqué par une dispersion géographique forte résultant des réseaux de production établis par les firmes multinationales. Les firmes originaires du Japon et des Etats-Unis ont investi dans les pays d’Asie de l’Est, pour les premières dès la fin des années 60, et pour les secondes à partir du milieu des années 80. Selon leur origine, ces firmes multinationales ont initialement organisé leurs réseaux sur des bases différentes: les filiales japonaises se sont davantage reposées sur des importations en provenance du Japon, alors que les filiales américaines ont eu recours à des fournisseurs locaux. Cependant, depuis le début des années 90, les firmes japonaises ont rapproché leur stratégie de celle des firmes américaines. Ainsi, la spécialisation internationale des pays d’Asie de l’Est dans les différents produits de l’industrie électronique résulte des stratégies des firmes des pays développés, guidés soit par la recherche de l’abaissement des coûts de production, soit par la volonté de contourner des barrières protectionnistes et de l’évolution de fournisseurs locaux, capables progressivement de développer leur production sous leur propre marque. Ce recours à la sous-traitance internationale, comme la création de filiales de production à l’étranger, a été possible par les progrès évoqués plus haut dans le domaine de télécommunications, qui facilitent les liaisons entre filiales et maisons-mères ou entre donneurs d’ordres et sous-traitants, et par l’abaissement du coût du fret international. L’exemple de ces deux secteurs, qui font partie des quatre pour lesquels les exportations des pays en développement croissent le plus rapidement, a permis de mettre en évidence l’importance du commerce international fondé sur une spécialisation verticale, au sein de réseaux organisés par des firmes multinationales ou utilisant la sous-traitance internationale. Or, des estimations conduisent à considérer que ce commerce représente environ 30% des exportations mondiales et a crû de 40% les vingt-cinq dernières années. Il existe donc une relation très forte entre le développement des investissements directs à l’étranger et la croissance des échanges internationaux, qui changent progressivement de nature sous l’influence des stratégies des firmes.

Mondialisation et entreprise, une influence réciproque

Les relations entre la mondialisation de l’économie et les stratégies des firmes sont à double sens. Ainsi, on peut considérer la mondialisation comme un choc exogène pour les firmes: en raison des politiques des pouvoirs publics, les marchés nationaux sont de moins en moins protégés et la concurrence tend à augmenter, même s’il n’existe pas de véritable marché mondial, sauf pour des biens très particuliers. Cette concurrence accrue conduit les firmes à développer des stratégies d’abaissement des coûts qui vont, notamment, conduire à une division verticale du processus de production, en délocalisant une partie de la chaîne de valeur dans des pays à faibles coûts de production. Ces mouvements vont renforcer la tendance à la mondialisation, en accroissant le volume du commerce mondial, tout d’abord par des échanges directement liés à l’activité des firmes originaires des pays développés, ensuite, lorsque les producteurs locaux ont acquis des compétences suffisantes, par des exportations qui deviennent autonomes.

L’intégration mondiale des marchés de capitaux a initialement été présentée, dans ses conséquences sur les firmes, comme étant à l’origine d’une amélioration des conditions de financement: la liberté de mouvement des capitaux devait conduire à un abaissement du coût de ce financement. Les firmes, dans ce schéma idéal, auraient dû pouvoir emprunter à des taux plus faibles, mais aussi, en diversifiant leurs placements, diminuer les risques auxquels elles sont confrontées.

Le raisonnement général consistait à faire un parallèle entre les bienfaits que l’on pouvait attendre de la libéralisation commerciale et ceux résultant de la libéralisation financière. Dans les deux cas, un fonctionnement du marché délivré des interventions publiques et s’étendant à un espace géographique élargi devait conduire à une meilleure allocation des ressources. Or, la nature des marchés financiers diffère radicalement de celle des marchés des biens et des services: les premiers sont caractérisés par une instabilité endogène que ne connaissent pas les seconds. Les différentes crises financières des années 90 sont venues remettre en cause l’optimisme initial; par ailleurs, la détention croissante des capitaux de grandes firmes par des fonds de placement agissant à l’échelle mondiale, comme certains fonds de pension, en particulier américains, est à l’origine de nouvelles contraintes qui s’imposent aux entreprises.

La mondialisation de l’économie est aujourd’hui confrontée à de nombreuses critiques, qui plaident pour une forme nouvelle de régulation des marchés, particulièrement dans le domaine financier; une éventuelle modification de son cadre général conduirait inéluctablement à des changements dans les stratégies des firmes, celles-ci étant devenues de façon croissante résolument internationales.

(Cahiers français, N° 309)

3. En vous servant du plan d'ensemble, rédigez le résumé du texte en 145 mots.

Etude lexicale du texte

4. A l’aide d’un dictionnaire, analysez la polysémie des termes suivants et dites quelles acceptions correspondent au domaine économique:

dimension, transformation, allocation.

5. Analysez la composition des termes suivants. Dégagez les radicaux. Citez les termes de la même famille. Donnez-en les équivalents russes:

multinational, progressivement, abaissement, renforcer, amélioration, innovation.

6. Formez le pluriel des termes suivants:

local, national, international, mondial, final, vertical, horizontal, initial, commercial, global.

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