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Introduction




Dangers humains et environnementaux posé s par les particules dispersé es dans la troposphè re pour modifier le temps

8 Aoû t 2016, 09: 44am

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Publié par Marvin Herndon

Article original de recherche

Frontiers in Public Heath, le 30 Juin 2016 | http: //nuclearplanet. com/frontiers1. pdf

Image J. Marvin Herndon * Transdyne Corporation, San Diego, CA, USA

Traduction franç aise: www. cielvoile. fr

 

Contexte: La perception des militaires amé ricains d'une guerre nuclé aire a conduit à d'innombrables expé riences nuclé aires contraires à l'é thique faites sur des individus sans mé fiance, sans leur consentement é clairé. Comme on le montre ici, la perception des militaires amé ricains d'une guerre du climat a conduit à exposer des millions d'individus sans mé fiance aux cendres volantes de charbon toxiques, sans en informer le public, sans son consentement é clairé, et sans alertes sanitaires.

Mé thodes: Trois mé thodes ont é té utilisé es: (1) la comparaison de huit é lé ments analysé s dans des é chantillons d'eau de pluie, pré cipité s, par hypothè se, des cendres volantes de charbon dispersé es en aé rosols, avec les lixiviats de cendres volantes de charbon obtenus en laboratoire; (2) la comparaison de 14 é lé ments analysé s dans la poussiè re d'un filtre à air avec les é lé ments correspondants dans les cendres volantes de charbon; et (3) la comparaison de 23 é lé ments analysé s dans des mailles fibreuses trouvé es aprè s la fonte de la neige avec les é lé ments correspondants dans les cendres volantes de charbon.

Ré sultats: Les ratios des é lé ments d'eau de pluie montrent que la matiè re particulaire aé rienne a essentiellement les mê mes caracté ristiques que le lixiviat de cendres volantes de charbon. Les ratios des é lé ments de la poussiè re de filtre à air apparaissent dans la mê me variation de compositions que les cendres volantes de charbon, de mê me que les ratios d'é lé ments de mailles fibreuses trouvé es sur l'herbe aprè s la fonte de la neige. Les mailles fibreuses fournissent une infé rence directe entre la dispersion d'aé rosols de cendres volantes de charbon par des avions et la combustion des avions.

Conclusion: Une preuve solide de l'exactitude de l'hypothè se: les cendres volantes de charbon sont probablement les particules d'aé rosols dispersé es dans la troposphè re pour la gé o-ingé nierie, la modification du temps, et / ou l'alté ration du climat. Les associations documenté es entre santé publique et pollution aux particules fines ≤ 2. 5 µm sont é galement applicables aux aé rosols de cendres volantes de charbon. La capacité des cendres volantes de charbon à libé rer de l'aluminium sous une forme chimiquement mobile, en pré sence d'eau ou d'humidité du corps, a des consé quences humaines et environnementales potentiellement graves, dans une fourcette large, y compris des implications pour les maladies neurologiques et l'affaiblissement du biotope. La capacité des cendres volantes de charbon à libé rer des mé taux lourds et des é lé ments radioactifs lors de l'exposition à l'humidité du corps a des consé quences potentiellement graves pour la santé humaine, y compris le cancer, les maladies cardiovasculaires, le diabè te, les maladies respiratoires, la ré duction de la fertilité masculine, et l'accident vasculaire cé ré bral. Les donné es des mailles fibreuses rendent possibles la formation dé sastreuse pour l'environnement, de mé thylmercure et d'hydrocarbures chloro-fluoré s, destructeurs de la couche d'ozone, dans les gaz d'é chappement des avions. Les implications gé ophysiques comprennent le ré chauffement atmosphé rique et des pré cipitations retardé es.

Introduction


Dans une socié té civilisé e et humanitaire, les responsabilité s de santé publique impliquent de faire connaî tre les menaces d'origine naturelle ou anthropique. Les menaces d'origine naturelle, à grande é chelle, existent depuis longtemps, sont gé né ralement bien connues et ont fait l'objet de recherche scientifique. D'autre part, des menaces bien plus graves, causé es par l'homme et pesant sur la santé publique, sont principalement apparues depuis la seconde guerre mondiale et sont gé né ralement le ré sultat d'activité s militaires dé libé ré es, mené es secrè tement. La divulgation par des scientifiques de dangers pour la santé publique, causé s par les militaires, a galvanisé l'indignation du public contre de telles activité s dans le passé. Le projet Manhattan a donné lieu à la course aux armements nuclé aires. Des expé riences nuclé aires non-é thiques ont é té ré alisé es sur des individus sans mé fiance, se comptant parfois par milliers, sans leur consentement é clairé. Par exemple, on a dit à des femmes enceintes qu'elles recevaient des vitamines, alors qu'on leur administrait du fer radioactif; on a injecté à des nouveaux-né s de l'iode-131 radioactif (1-4). Les explosions dans l'atmosphè re de bombes nuclé aires ont gé né ralement é té mené es sans é gard pour la santé des ré sidents sans mé fiance, exposé s au vent (5). Les essais nuclé aires atmosphé riques aux É tats-Unis ont pris fin suite à l'indignation du public qui apprenait les risques associé s au strontium-90 absorbé par les enfants (6).

La technologie commerciale moderne de la modification du temps a commencé avec la dé couverte en 1946 du fait que l'ensemencement des nuages avec de l'iodure d'argent ou de la glace sè che, pouvait provoquer la pluie ou la neige dans bien des cas (7). Cette mé thode de modification du temps est largement utilisé e à des fins agricoles, commerciales ou autres. Les stations de ski l'utilisent fré quemment pour augmenter la probabilité de neige. Les compagnies d'assurance l'utilisent pour ré duire leurs risques en garantissant certaines conditions mé té orologiques pour des projets commerciaux ou pour ré duire au minimum les pertes potentielles causé es par des tempê tes de grê le.

L'armé e a longtemps rê vé de contrô ler le temps à des fins straté giques (8). Les applications militaires, au dé but de la modification du temps, avaient pour but de provoquer dé libé ré ment des pré cipitations à un moment pré cis et dans un lieu pré cis, par l'ensemencement des nuages ​ ​ avec des substances telles que l'iodure d'argent ou la glace sè che. On a rapporté que les Etats-Unis ont ensemencé les nuages ​ ​ pour faire tomber la pluie, avant qu'ils n'atteignent Cuba pour ruiner la ré colte cubaine de canne à sucre (9). De 1967 à 1972, l'Opé ration Popeye a impliqué l'ensemencement des nuages ​ ​ avec l'intention de prolonger la mousson sur la piste Ho Chi Minh pour empê cher le transport des troupes et du maté riel pendant la guerre du Vietnam (8, 10). Le succè s de ces activité s de modification du climat a activé les inté rê ts ulté rieurs du gouvernement et des militaires pour ces technologies, exprimé s dans un document du sé nat amé ricain de 1978 (11) et dé crits dans le document de l'US Air Force de 1996: " Le temps comme multiplicateur de force: contrô ler le temps en 2025 (12) ".

Aprè s la guerre du Vietnam, la modification du temps par les militaires est devenue une activité d'envergure mondiale, secrè te, soutenue par une campagne de dé sinformation. Comme la guerre nuclé aire qui la pré cé dait, la modification du temps ou la gé o-ingé nierie a continué à ê tre secrè tement dé veloppé e et mise en pratique, en particulier au cours des deux derniè res dé cennies (13). Cette activité de gé o-ingé nierie pré sente des dangers de santé publique d'envergure mondiale en raison de la nature de la substance principale pulvé risé e dans la basse atmosphè re, la troposphè re (14), où elle se mé lange à l'air que nous respirons tous (15) (Figure 1). Non seulement le gouvernement cache les risques connus (et inconnus) pour la santé, mais aussi trompe le public sur son programme de gé o-ingé nierie et la nature des aé rosols employé s.

Né anmoins, grâ ce à l'application de la mé thodologie de l'expertise scientifique, à la science, aux observations solides et au raisonnement scientifique, on peut discerner les aspects cruciaux des activité s secrè tes de pulvé risation de la troposphè re. Pour le bien de l'humanité, pour la santé publique et pour leurs implications environnementales, les pulvé risations troposphé riques secrè tes en-cours mené es à l'é chelle plané taire sont divulgué es ici afin de permettre le dé bat public, la recherche et la vé rification.

Une dichotomie profonde existe entre la technologie, la pratique, la terminologie et la divulgation publique de la gé o-ingé nierie de telle maniè re que ses implications pour la santé publique sont ré duites au minimum. La communauté universitaire dé crit la gé o-ingé nierie comme une é ventuelle intervention future dans la haute atmosphè re (stratosphè re) pour lutter contre le ré chauffement climatique anthropique. La stratosphè re est la ré gion où on a observé que les gaz d'é ruption volcanique provoquaient un refroidissement global. Il y a relativement peu de convection dans la stratosphè re donc ces gaz d'é ruption volcanique peuvent rester en suspension dans la stratosphè re pendant un an ou plus (16). Des scientifiques universitaires postulent que dans la gé o-ingé nierie future des substances telles que l'acide sulfurique ou le dioxyde de titane seront pulvé risé s dans la stratosphè re afin de bloquer une partie de la lumiè re solaire incidente (17). Diverses mé thodes ont é té proposé es pour disperser les substances de la gé o-ingé nierie dans la stratosphè re, y compris bombarder des substances à partir d'armes à feu, les libé rer à partir de ballons ou les disperser à partir d'avions à haute altitude (18). La stratosphè re est la ré gion où se situe la couche d'ozone qui nous protè ge des ultraviolets du rayonnement solaire (19). Dans la perception acadé mique d'une gé o-ingé nierie hypothé tique, les pré occupations de santé publique à propos de la gé o-ingé nierie sont aussi hypothé tiques, quelque chose qui pourrait devenir important à l'avenir quand la gé o-ingé nierie stratosphé rique serait mise en œ uvre.


Contrairement à la pré somption des gé o-ingé nieurs d'université, l'activité de gé o-ingé nierie gouvernementale/ militaire secrè te s'est dé ployé e au cours des 70 derniè res anné es et s'est intensifié e depuis la fin de la guerre froide et la dé couverte du ré chauffement climatique comme question de sé curité nationale (20). À l'heure actuelle, la gé o-ingé nierie se dé roule dans la troposphè re (basse atmosphè re) dans un grand nombre de pays, dont les É tats-Unis, le Canada, les pays de l'Union europé enne, l'Angleterre, l'Australie et la Nouvelle-Zé lande (14). La communauté universitaire a hé sité à reconnaî tre publiquement l'activité de gé o-ingé nierie militaire, bien qu'il existe des preuves d'observation abondantes de son existence (8, 14). Depuis le milieu des anné es 1990, il y a eu de nombreuses observations de pulvé risation aé rienne de matiè re particulaire dans la troposphè re. La figure 2 montre quelques exemples ré cents des traî né es de particules. Cependant, ceci n'est qu' un é chantillon minuscule. Il existe de nombreux sites internet consacré s à dé noncer les pulvé risations aé riennes à un public mal informé (2-14).

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