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Figure 2. Images de traînées de particules de pollution délibérément produites. Photographies de Patrick Roddie, avec sa permission.




Figure 1. Repré sentation sché matique des couches de l'atmosphè re à latitudes moyennes montrant les ré gions typiques de formations de nuages et la circulation des avions de passagers.


La raison physique des pulvé risations aé riennes de particules, est de contrô ler le temps et le climat en inhibant la pluie. L'idé e derriè re l'ensemencement des nuages ​ ​ est d'aider la nuclé ation de la pluie, de la glace ou de la neige alors que l'idé e derriè re les pulvé risations de particules en aé rosols est d' inhiber la pluviomé trie est d'interfé rer avec le processus de nuclé ation. La mé thodologie est connue d'aprè s les é tudes de pollution (21) et est dé crite par la NASA(15): " La cré ation normale de gouttelettes d'eau de pluie implique la condensation de vapeur d'eau sur des particules situé es dans les nuages. Les gouttelettes finalement fusionnent ensemble pour former des gouttes assez grosses pour tomber au sol. Cependant, comme de plus en plus de particules de pollution (aé rosols) entrent dans un nuage de pluie, la mê me quantité d'eau s'é tale. Ces gouttelettes d'eau plus petites flottent dans l'air et ne peuvent fusionner et grossir assez pour former une goutte d'eau. Ainsi, le nuage donne moins de pluie au cours de sa duré e de vie par rapport à un nuage de la mê me taille dans un environnement non pollué. "

La solution du gouvernement et/ou des militaires pour empê cher la pluie de tomber est de disperser dé libé ré ment dans l'air un polluant dans la ré gion où se forment les nuages pour interfé rer avec la nuclé ation des gouttelettes d'eau. L'ajout intentionnel de pollution particulaire dans l'air, non seulement inhibe la chute de la pluie, mais ré chauffe aussi l'atmosphè re (en absorbant l'é nergie solaire) et limite les pertes de chaleur é mises par la Terre. Par consé quent, la pollution particulaire cré e une augmentation artificielle de la pression de l'air, ce qui peut bloquer le mouvement d'un front mé té orologique venant en sens inverse et empê cher la zone traité e de bé né ficier par la suite des pré cipitations (22, 23). Une consé quence secondaire de la dispersion dans l'air de cette matiè re polluante sur la couche de glace peut la transformer en collecteur de chaleur solaire et participer à la fonte de la glace (24). Le pré judice pour les citoyens, les plantes et autres biotes ne vient pas seulement d'une diminution des pré cipitations, mais aussi de la toxicité de la substance polluante largement utilisé e pour retarder la chute des pluies (25).

Figure 2. Images de traî né es de particules de pollution dé libé ré ment produites. Photographies de Patrick Roddie, avec sa permission.

La composition de la matiè re particulaire dispersé e dans l'air, souvent dé signé e du nom de «chemtrails» pour la distinguer des " contrails", ou traî né es de condensation, est resté e un secret bien gardé, et soutenu par une campagne de dé sinformation. Par exemple, en 2005, l'US Air Force a distribué un document intitulé " Des faits sur les Contrails", qui affirmait en partie: « Le canular des " chemtrails" a é té é tudié et ré futé par de nombreuses université s ré puté es et reconnues par l'Etat, des organisations scientifiques et des publications majeures dans les mé dias. Une chose telle qu' un «chemtrail» n'existe pas. Les contrails sont un phé nomè ne naturel et sont inoffensifs. Ils ne posent aucun risque d'aucune sorte pour la santé ».

Mais comme le dit la cé lè bre phrase d'Abraham Lincoln: " Vous pouvez tromper tout le monde pendant un temps, et quelques-uns tout le temps, mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps. " Le 11 fé vrier 2016, un projet de loi a é té introduit à l'Assemblé e Gé né rale de l'Etat de Rhode Island (É tats-Unis) exigeant la divulgation publique et des enquê tes de santé et de sé curité sur toutes les activité s de gé o-ingé nierie (26). Le 11 mars 2016, une proposition de recours collectif de masse pour dé lit envers l'environnement a é té pré senté e à la Cour fé dé rale du Canada au nom de tous les canadiens affecté s par les rejets aé riens effectué s directement ou indirectement par Sa Majesté la Reine et / ou ses repré sentants, dans l'espace aé rien canadien, et supposé s compromettre la fonction cognitive, contribuer à d'autres troubles neurologiques, à des dommages maté riels et environnementaux, parmi beaucoup d'autres chefs d'accusation (27).

En apparence, les traî né es d'avions persistantes ressemblent à des traî né es de condensation ou contrails, qui sont des cristaux de glace formé s à partir de gaz d'é chappement des avions, mais il y a des diffé rences profondes. Les traî né es de condensation ne se forment que dans des environnements trè s humides, à des tempé ratures suffisamment basses pour la pression de vapeur saturante par rapport à la glace, et avec une humidité suffisante dans les gaz d'é chappement. En outre, les cristaux de glace qui forment des contrails subliment, et disparaissent par é vaporation pour former des gaz invisibles sur une é chelle de temps allant de quelques secondes, quelques minutes (typique) à quelques heures (cas extrê mes de froid et d'humidité ) (28, 29).

L'auteur vit à San Diego, en Californie (USA) depuis plus de 40 ans et en tant que scientifique expé rimenté observe attentivement le ciel. Pendant de nombreuses anné es, avant les é pandages aé riens quasi-quotidiens, le ciel é tait d'une belle et riche couleur bleu azur profond, souvent sans nuages. Dans l'air chaud et sec de San Diego, les contrails é mis par les avions sont un spectacle rare et disparaissent en quelques secondes ou quelques minutes, devenant des gaz invisibles. La figure 3 montre six images du ciel de San Diego qui illustrent non seulement la nature omnipré sente des particules pulvé risé es dans l'air mais fournissent clairement une preuve solide pour ré futer la dé claration publié e par l'US Air Force. Des vidé os d'avions pulvé risant des particules dans le ciel de San Diego sont ré fé rencé es ici (16-20).

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