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Leçon 8 Huitième leçon




Leç on 8 Huitiè me leç on

La capitale des Parisii

1e partie

Paul Delon n’est pas content

Comment allez-vous? Tout va bien? Moi, je ne vais pas bien du tout. Je voudrais aller dans un autre hô tel ou je voudrais une autre chambre. Je ne peux pas faire de gymnastique dans ma chambre. Elle est trop petite. Il n’y a pas assez de place. Quand je regarde par la fenê tre, le spectacle est affreux: une cour, un garage et pas d’arbres. Quand la fenê tre est ouverte, l’odeur est affreuse: il y a des poubelles partout. Tout est laid ici. La femme de chambre apporte les petits dé jeuners dans les chambres. Elle dit: « Voilà des croissants dé licieux ». Et elle ajoute: « Et notre confiture dé licieuse. Nous la faisons ici, à l’hô tel ». Je dé teste les croissants et je dé teste la confiture. En ce moment je suis seul. Mon pè re est chez les Martin. Ma mè re est chez le coiffeur. Valé rie est dans les grands magasins. Elle fait des courses. Moi, je ne peux rien acheter parce que je n’ai pas d’argent. Valé rie et ma mè re font des courses presque tous les jours. Tous les matins ma mè re me dit: « Amuse-toi bien, Paul ». Tous les matins Valé rie me dit: « Comme tu es ennuyeux, va-t’en ». Tous les matins mon pè re me dit: « Va à la Tour Eiffel ». Ennuyeux? Moi? Valé rie est ennuyeuse. Je dé teste ma famille.

2e partie

Au pied de la Tour Eiffel

Paul rencontre M. Levoisin

– Eh M. Levoisin! Bonjour, monsieur!

– Ah, bonjour, Paul! Qu'est-ce que vous faites ici?

– Rien.

– Moi, je monte à la Tour. Il fait beau aujourd'hui. Il fait chaud. Vous venez avec moi?

– Merci, mais je n'ai pas assez d'argent.

– Combien est-ce que vous avez?

– Cinq sentimes. Ce n'est pas assez.

– Ç a ne fait rien. Je vais prendre deux billets.

– Oh, M. Levoisin, vous ê tes trop aimable.

– Pas du tout. C'est un petit cadeau. Venez donc.

Le vieux Paris

– Regardez-moi ç a: comme c'est beau. Paris n'est pas une grande ville ordinaire. Paris c'est la vieille capitale des Parisii.

– Les Parisii? Qui est-ce?

– Les habitants de l'î le de la Сité au IVe siè cle.

– Ah, l'histoire! Ç a ne m'inté resse pas du tout!

– Bien entendu. Vous ê tes jeune, vous. Moi, je suis vieux. J'aime ne rien faire. Ma femme me dit toujours: « Jules, tu ne fais rien. Comme tu es paresseux ». Les femmes sont paresseuses, elles aussi. Nous ne sommes pas comme elles, n'est-ce pas? Mais, é coutez, Paul. Vous pouvez faire des choses amusantes ici à Paris. Vous pouvez visiter les é gouts.

– Les é gouts?

– Oui, nous pouvons les visiter ensemble si vous voulez.

– Formidable!

– Mais il fait froid dans les é gouts. Et puis, il fait noir. Il y a des rats. Et il y a une odeur affreuse. C'est affreux. Ce n'est pas exactement le plein air, vous savez.

– Oh, ç a ne fait rien.

– Ah, pardon, je ne peux pas vous accompagner cet aprè s-midi. Ma femme m'attend à la maison.

– Ç a n'a pas d'importance.

– Je voudrais tellement pouvoir vous accompagner.

– Tant pis, M. Levoisin. Où se trouvent-ils, ces é gouts?

– Ils sont assez loin d'ici. L'entré e est prè s de la statue de Lisle sur la place de la Concorde.

– Oh, c'est loin.

– Mais non. La place de la Concorde est tout prè s. Vous avez besoin d'un plan. Il y a un guide à l'entré e. C'est un vieil homme, trè s gentil, un vieil ami.

– Et l'entré e, c'est combien?

– 2 francs. Tenez, voilà 10 francs.

– Non, M. Levoisin, c'est trop.

– Ecoutez. Allez au bureau de tabac à cô té de la Tour Eiffel et achetez un billet de la Loterie nationale. Avec un billet vous pouvez gagner 30 000 francs. Au revoir, Paul. Amusez-vous bien.

3e partie

Monsieur et Madame Lejeune

– Deux billets, c'est un cadeau de Jules.

– Il est gentil, Jules.

– Oui, trè s gentil. Alors, en route.

– Oui, mais où?

– Ce sont les billets pour visiter les é gouts.

– Oh, et bien non. Il n'est pas gentil du tout, ton ami Jules.

Devoirs

1. É coutez l’enregistrement plusieurs fois. Lisez le texte en imitant le speaker.

2. Traduisez les mots et les expressions ci-dessous et apprenez-les.

une odeur

laid, -e

dé licieux, -se

s’amuser

ennuyeux, -se

Va-t’en! (s’en aller)

au pied de qch

un cadeau

bien entendu

les é gouts de Paris (m, pl) – Паризький музей каналізації

un rat

un bureau de tabac

acheter un billet de la Loterie nationale

3. É crivez le ré sumé du texte de la premiè re partie à la 3e personne et apprenez-le.

4. Ré sumez le contenu des dialogues de la deuxiè me partie par é crit.

 

 

Leç on 9 Neuviè me leç on

Ma chè re Anne

1e partie

Voilà M. Redeau

Soyez les bienvenus dans mon bureau de tabac. Je suis proprié taire de mon bureau de tabac depuis longtemps. Je vends des journaux, des revues, des bonbons, des cartes postales, des timbres-poste. Je vends aussi des pipes, des cendriers et naturellement du tabac et des cigarettes. Mais moi, je ne fume pas. C'est trè s mauvais pour la santé. Souvent ma femme m'aide et je travaille avec elle. Quelquefois je la laisse toute seule. Je lui laisse les clé s de la caisse. Ce matin il y a peu de clients. Il fait froid et il pleut un peu. En gé né ral, le matin j'ai peu de travail. Cet aprè s-midi ma femme va m'aider. Et ce soir, aprè s le travail, nous allons au ciné ma. En gé né ral, nous vendons peu le matin, mais l'aprè s-midi et le soir nous avons beaucoup de monde. Nos clients nous aiment bien. Nos clients sont trè s fidè les. M. Levoisin, par exemple. Je lui vends un billet chaque semaine. Chaque semaine il me dit: « Bonjour, Pierre. Mon billet, s. v. p. ». Les billets de loterie coû tent 3, 30 ou 50 francs. Je vends beaucoup de billets à 3 francs. Mais il est plus difficile de vendre les billets à 30 ou à 50 francs. Les gagnants peuvent gagner 30 mille francs. De temps en temps un de mes clients gagne un gros lot. Bien entendu, d'autres ne gagnent jamais rien. Quelquefois, pour les consoler, je leur donne un billet gratuit. M. Levoisin, lui, a gagné cent francs il y a dix ans peut-ê tre. Ma femme, elle, m'a acheté un billet il y a un an ou deux. Elle a gagné dix francs, elle a de la chance. Moi aussi, j'ai acheté des billets, des quantité s de billets. En vingt ans, j'ai gagné trois francs. Oh, le prix d'un billet. C'est la vie.

2e partie

Au bureau de tabac

– Vous avez une carte en couleurs de la Tour Eiffel?

– Oui. Voilà. Soixante-dix centimes.

– Alors, trois cartes postales, s. v. p. Vous ne vendez pas de timbres?

– Si, bien sû r.

– Ah, c'est vrai. Les buralistes vendent des timbres en France. Alors, trois timbres pour le Canada, l’Equipe et deux tablettes de chocolat. Ç a fait combien?

– Ç a fait sept francs quatre-vingts.

– Merci. Voilà.... ·Alors une carte – Anne! Tout de suite. « Ma chè re Anne! » Marie-Claire, bonjour!

– Ç a va?

– Pas mal, merci.

– Je vais au bureau de poste. Tu m'accompagnes?

– Oui, je vais poster ma carte postale.

– C'est dommage il n'y a pas de boî te à lettres ici.

– Allons au bureau de poste, alors.

Au bureau de poste

– Ecoute, Paul, Guy m'attend. Tu veux lui té lé phoner pour moi?

– Bien sû r, je peux faire ç a pour toi.

– Oh, merci! Je veux envoyer un té lé gramme.

– Alors, qu'est-ce que je dis à Guy?

– Dis-lui « Marie-Claire ne peut pas venir tout de suite ». C'est tout.

– Et s'il n'est pas là?

– Parle à la concierge. Elle est toujours là, elle. Est-ce que tu voudrais aussi té lé phoner aux Louvier?

– Si tu veux.

– Eux, ils sont certainement là.

– Qu'est-ce que je leur dis, à eux?

– Dis-leur « Marie-Claire et Guy ne peuvent pas venir ce soir ».

– D'accord. Où se trouve le té lé phone?

– Là, dans le coin. Tu peux acheter deux jetons au comptoir.

– Un jeton, c'est combien?

– Quarante centimes. Au revoir!

– Quarante centimes. Deux jetons. Ç a fait quatre-vingts centimes. Voyons. J'ai deux francs vingt. Deux francs vingt moins quatre-vingts centimes. Ç a fait un franc quarante. Un franc quarante ce n'est pas assez pour les é gouts. Ah, les femmes!

3e partie

Le concierge gagne toujours

– Vous avez gagné?

– Non, je ne gagne jamais.

– C'est dommage. Moi, je gagne toujours.

– A la loterie?

– Oui.

– Vous avez gagné combien?

– En cinq ans j'ai gagné vingt-cinq mille francs.

– Formidable!

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