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Leçon 17 Dix-septième leçon




Devoirs

1. É coutez l’enregistrement plusieurs fois. Lisez le texte en imitant le speaker.

2. Traduisez les mots et les expressions ci-dessous et apprenez-les.

le classeur – картотека, класифікатор

emporter qch

un stylo à bille – кулькова ручка

des paperasses (f, pl) – папери, писанина

à temps partiel – неповний робочий день

à plein temps – повний робочий день

par-dessus le marché – крім того, до того ж

chanter à tue-tê te – співати дуже голосно

claquer les portes

faire marcher le transistor à fond – вмикати радіо на повну

le congé – відпустка

l’adjoint (m) – заступник, помічник

consciencieux, -se

la boî te à pansement, à pharmacie – аптечка

une cachette

un cambrioleur

le devis – кошторис

s’empresser de f. qch

suggé rer qch

3. É crivez le ré sumé du texte de la premiè re partie à la 3e personne et apprenez-le.

4. Ré sumez le contenu du dialogue de la deuxiè me partie par é crit.

 

 

Leç on 17 Dix-septiè me leç on

Guy Martin reç oit un visiteur

1e partie

M. Houbet vous parle

Il est difficile de trouver une seule chambre à Paris en é té, parce que les hô tels sont remplis de touristes. Sur les portes d'entré e on voit la pancarte " Complet". La plupart des thé â tres et beaucoup de restaurants sont fermé s. C'est le mois de la fermeture annuelle, le mois des congé s payé s. De plus en plus, l'administration essaie d'encourager les gens à prendre leurs vacances en juin et en septembre. Je travaille pour une petite usine de bicyclettes. Je m'occupe de la publicité. Nos chiffres de vente sont en baisse. En 1967, nous avons vendu 7 mille bicyclettes. L'anné e derniè re, nous en avons vendu seulement 4 mille. En ce moment nos ventes sont en hausse. Au cours des derniers mois nous avons vendu prè s de 450 bicyclettes par mois. Je ne dis pas que les ré sultats sont bons, ils sont simplement meilleurs. Mais nous voulons essayer de faire mieux. Nous essayons, en particulier, d'amé liorer notre publicité. Un jour un ami m'a parlé de l'agence " Martin et Dacier". Il m'en a parlé avec beaucoup d'enthousiasme. Alors, j'ai donné un rendez-vous à M. Martin ce matin pour lui demander de lancer une campagne de publicité pour notre marque. Ce soir je vais donc dî ner chez lui. Il est agré able de parler affaires assis à une bonne table. On peut bavarder plus facilement qu'au restaurant. On boit, on mange, on discute. L'atmosphè re est dé tendue.

2e partie

A l'agence

– Je voudrais voir M. Martin, s. v. p. Je m'appelle Houbet. Je travaille pour l'usine cyclo-tourisme. Est-ce qu'il peut me recevoir?

– Vous avez un rendez-vous?

– Oui, à 11 heures.

– Voulez-vous attendre un instant, s. v. p., monsieur. Je vais appeler M. Martin par l'interphone. M. Houbet vient d'arriver. Trè s bien. Par ici, monsieur.

Dans le bureau de Guy

– Ah, bonjour, M. Houbet!

– Bonjour, monsieur.

– Je suis trè s heureux de faire votre connaissance. Asseyez-vous, je vous en prie. Avant de parler affaires, vous allez me faire le plaisir de prendre un apé ritif. Qu'est-ce que je peux vous offrir?

– Vous savez, je bois peu.

– Une petite goutte d'apé ritif ne peut pas vous faire de mal.

– Non. Mais dans mon mé tier, on invite sans arrê t à boire. Vous buvez un apé ritif par ci, un digestif par là.

– Oui, je sais. Mais il y a des boissons plus ou moins fortes. Un doigt de biè re ou de Saint-Raphaë l n'a jamais fait de mal à personne.

– Naturellement, alors un Saint-Raphaë l.

– Pouvez-vous nous apporter deux Saint-Raphaë l, s. v. p. ? Comment trouvez-vous Paris?

– Chaud et trè s calme. Mais mê me en é té la vie à Paris est tré pidante, en comparaison de Bordeaux.

– Vous aimez venir à Paris?

– Oh, oui, j’y viens souvent, vous savez. J'aime le thé â tre, les expositions et surtout les boî tes de nuit.

– Vous connaissez la boî te « Chez Loulou »?

– Non, mais j'en ai vaguement entendu parler.

– Nous pouvons y aller un de ces soirs. Et n'oubliez pas de venir dî ner à la maison ce soir.

– Vous ê tes trè s aimable, merci.

– Et à part ç a? Qu'est-ce que vous allez faire à Paris?

– Parler affaires, j'espè re. Mais je veux aussi prendre des photos. Je veux en prendre beaucoup. J'utilise quelquefois certaines de mes photos pour illustrer nos ré clames. Hier j'ai acheté des pellicules. J'en ai acheté 5. Vous connaissez dé jà l'objet de ma visite?

– Oui, j'ai reç u votre lettre du 1er. Voyons. Où est-elle? Ah, nous recevons tellement de lettres. Et ma secré taire et ma dactylo ne sont pas trè s ordonné es. Elles reç oivent les lettres et elles les é garent. Ah, voilà votre lettre. Voyons. « Je voudrais lancer une campagne de publicité intensive pour notre marque de bicyclettes. Mais comment donner à la bicyclette, ce moyen de transport dé modé, un attrait nouveau? »

– Oui, voilà le problè me.

– Eh bien, ré solvons ce problè me.

– Voilà, messieurs.

– Merci, Chantal. Alors, buvons à l'avenir de votre usine.

3e partie

Maigre et gras

– Je voudrais aller dî ner dans un bon restaurant.

– Quel restaurant?

Au Veau maigre, peut-ê tre.

– Ah oui, Madame Joubert, m’en a beaucoup parlé.

– Il est cher?

– Pas tellement. En tout cas pour toi, ç a n'a pas d'importance.

– Merci, tu es gentil.

– Nous pouvons peut-ê tre aller au Veau gras?

– Ç a non, c'est un restaurant trè s cher, le Veau gras. Je ne vais pas t'offrir un repas au Veau gras. Mê me pour te faire plaisir.

Claude n'a pas besoin de voiture

– Notre chiffre d'affaires est en baisse.

– Je sais. Nous avons perdu beaucoup de clients au cours des derniers mois.

– Nous allons ê tre obligé s de faire quelque chose.

– Oui, vous avez raison.

– Ecoutez, la maison a trois voitures.

– Oui, j'en ai une. Vous en avez une. Mais vous et moi avons besoin d'une voiture.

– D'accord. Claude a une voiture, lui aussi.

– Mais il n’en a pas vraiment besoin.

– Vous avez raison.

– Claude peut trè s bien prendre le car.

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