Leçon 18 Dix-huitième leçon
Devoirs 1. É coutez l’enregistrement plusieurs fois. Lisez le texte en imitant le speaker. 2. Traduisez les mots et les expressions ci-dessous et apprenez-les. recevoir un visiteur la pancarte « Complet » – табличка „Місць немає” un congé payé – оплачувана відпустка les ventes sont en baisse, les ventes sont en hausse amé liorer lancer une campagne de publicité – розпочати рекламну кампанію l’atmosphè re est dé tendue appeler qn par l’interphone prendre un apé ritif – випити аперитив (алкогольний напій, що підвищує апетит) boire un digestif – випити (наприкінці їжі) алкогольний напій, що сприяє травленню des boissons fortes la vie tré pidante – неспокійне життя une boî te de nuit – нічний клуб une pellicule – фотоплівка une personne ordonné e – охайна людина, яка любить порядок dé modé, -e un attrait – приваба, привабливість ré soudre le problè me le chiffre d’affaires – торговий оборот 3. É crivez le ré sumé du texte de la premiè re partie à la 3e personne et apprenez-le. 4. Ré sumez le contenu des dialogues de la deuxiè me partie par é crit.
Leç on 18 Dix-huitiè me leç on Les trois coups 1e partie M. Levoisin a té lé phoné M. Levoisin a té lé phoné il y a 5 minutes, il nous invite tous à aller au thé â tre ce soir. Il a ré ussi à se procurer des billets pour " Le Franç ais". On joue " Le Mé decin malgré lui", de Moliè re. Il y a longtemps qu'il veut nous inviter à aller au thé â tre. Il a fait la queue devant le thé â tre pendant une heure pour louer des places pour la semaine prochaine. Quand il est arrivé au guichet, l'employé lui a dit sè chement: " Complet". Mais quelqu’un est arrivé avec 6 billets: « Je ne peux pas aller au thé â tre ce soir », a-t-il dit. M. Levoisin a immé diatement offert de les lui acheter. Ce sont des balcons. Naturellement, ce ne sont pas les meilleures places. J'aime mieux les fauteuils d'orchestre. Aprè s tout il y a pire. Il vaut mieux avoir des balcons qu'aller au poulailler. Il faut dire que j'adore les spectacles. N'importe quels spectacles: comé dies, tragé dies, drames, comé dies musicales, spectacles de varié té s. Je suis une autre personne quand j'entre dans un thé â tre. Quelle atmosphè re! Les lumiè res du foyer, les ouvreuses vendant leurs programmes, la salle pleine de monde, la scè ne encore caché e par le rideau, les trois coups avec le lever du rideau et enfin la piè ce. Les dé cors du « Franç ais » sont toujours soigné s et naturellememt les comé diens et les comé diennes de la « Comé die Franç aise » sont particuliè rement brillants, les meilleurs de toute la France, peut-ê tre. Et je sais qu'ils vont ê tre fré né tiquement applaudis par les spectateurs à la fin du spectacle.
2e partie Une soiré e au thé â tre – M. Levoisin a té lé phoné. Il nous invite à aller au thé â tre. – Qui? Toi et moi? – Non, tous les quatres. Et il va amener sa femme. – Il a retenu les places? – Oui. – Pour quand? – Malheureusement pour ce soir. – Pourquoi malheureusement? Tu sais bien que je suis prê t à aller au thé â tre n'importe quand. – Ce sont des billets rapporté s par un monsieur. – Et nous allons voir quoi? – " Le Mé decin malgré lui. " – Tu sais que les comé dies de Moliè re me plaisent beaucoup. Tu as accepté? – Bien sû r. – A quel thé â tre allons-nous? – Ah, devine! – Ç a doit ê tre au « Franç ais », à Chaillot, peut-ê tre au Thé â tre de la ville. Alors, auquel? – Au « Franç ais ». – Les piè ces du ré pertoire classique m'ont toujours plu. A propos, Valé rie n'est pas sortie? – J'espè re que non. – Georges est de service ce soir. – Alors, elle ne va pas pouvoir sortir avec lui. – Tu as raison. Dis, Yvonne. – Oui? – Ç a ne t'inquiè te pas un peu? – Quoi? – Valé rie et ce jeune Louvier. – Mais non, voyons. D'habitude, Valé rie est assez timide. Depuis quelque temps elle est devenue sû re d'elle-mê me. Et j’en suis ravie. Il me plaî t, ce garç on. – Je dois dire qu'il me plaî t à moi aussi. Une autre chose m'inquiè te un peu. – Quoi? – Je n'ai rien à mettre. – Toi non plus? – Comment toi non plus? Tu as é normé ment de robes. Tu en as apporté des quantité s du Qué bec. Et puis tu en as acheté plusieurs ici. – Tu sais bien que je veux emporter au Canada quelques robes de Paris. – Tu as raison. – Je n'ai pas vraiment de robe pour sortir le soir. – Eh bien, emprunte quelque chose à Valé rie. Elle a des quantité s de robes à te prê ter. – Excellente idé e. Sa robe mauve me va trè s bien. Je l'ai porté e une fois ou deux, je me rappelle. Elle est peut-ê tre un peu claire. Mais elle ne fait pas trop jeune. – Et moi? – Je ne sais pas, moi. Ç a m'est é gal. N'importe quoi. – N'importe quoi? Je te remercie. Je ne peux tout de mê me pas aller au thé â tre habillé n'importe comment. 3e partie
Pas de robe – Mets donc ta robe rouge pour aller au thé â tre. – Je suis devenue trop grosse. Je ne peux plus mettre cette robe-là. – Alors, pourquoi ne pas mettre ta robe mauve? – La mauve ne me va pas, non plus. – Mais tu l'as acheté e il y a un mois seulement, et tu l'as mise deux ou trois fois, pas plus. – Oui, je sais. Mais elle ne me plaî t plus. – Alors, mets ta robe bleue. – Celle-là me va mieux. Mais elle fait trop vieux. – Et la violette? – Elle fait trop jeune. – C'est bien simple. Alors, reste à la maison!
Jean et Jeanne prennent rendez-vous par té lé phone – Alors, où? – N'importe où. – Et quand? – N'importe quand. – Est-ce que je peux amener quelqu’un? – Oui, oui, ç a m'est é gal. – Qui? – N'importe qui. – Est-ce que je peux apporter quelque chose? – Oui, si tu veux. – Quoi? Non, ne ré ponds pas. Je sais ce que tu vas dire. – Quoi? – Tu veux me dire d'apporter du chocolat.
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