Leçon 25 Vingt-cinquième leçon
Devoirs 1. É coutez l’enregistrement plusieurs fois. Lisez le texte en imitant le speaker. 2. Traduisez les mots et les expressions ci-dessous et apprenez-les. ê tre de sortie – піти кудись розважатися les frais (m, pl) rembourser ê tre en dé placement se dé tendre à proximité de austè re *hé ler un taxi un escalier roulant une rame (du mé tro) des pneus en caoutchouc suivre les flè ches – тут іти за покажчиками toutes les couleurs de l’arc-en-ciel regarder à travers ses cils les couleurs se fondent (v. : se fondre) – кольори змішуються, поєднуються le bronze poli – полірована бронза é mouvant(e) des ossements (m, pl) – останки; кістки, скелети (людей, тварин) 3. É crivez le ré sumé du texte de la premiè re partie à la 3e personne et apprenez-le. 4. Ré sumez le contenu des dialogues de la deuxiè me partie par é crit.
Leç on 25 Vingt-cinquiè me leç on Le lendemain 1e partie Marie-Claire pense à sa journé e d’hier Oh là là! Je suis é puisé e. Luc Houbet et moi sommes allé s dans une boî te de nuit. Et nous sommes rentré s à cinq heures du matin. Nous avons dansé, nous avons ri, nous avons bu. Lorsque nous avons dé cidé d'aller dans une boî te de nuit, nous avons té lé phoné à Guy pour lui dire de venir nous rejoindre. Mais il é tait dé jà parti. Comme par hasard il avait quitté le bureau plus tô t que d'habitude. Il ne nous a pas manqué, parce qu'il a la dé testable manie de parler politique et de parler affaires. J'oubliais de dire qu’aprè s avoir visité le Petit Palais, Luc et moi nous avons eu l’idé e de faire une excursion sur la Seine en bateau-mouche. Nous avons embarqué au pont de l’Alma pour dé barquer au mê me endroit, aprè s avoir fait le tour de l’î le de la Cité. Aprè s ç a Luc a voulu m'emmener dans un endroit où on s'amuse, un dancing, une discothè que ou une boî te de nuit. Il a acheté un annuaire des spectacles. Il a cherché une boî te où il é tait allé quelques anné es plus tô t. Il a cherché partout dans l'annuaire, mais il ne l'a trouvé e nulle part. Alors, au petit bonheur la chance, nous sommes allé s chez « Loulou ». Il est clair que c'est une boî te en vogue. Nous y avons vu des politiciens connus et mê me un ministre du gouvernement actuel. Il é tait presque impossible d'approcher du bar. Je n'avais jamais eu si chaud de ma vie. J'ai pris un grand whisky avec de la glace. La glace m'a rafraî chi. Mais le whisky m'a donné chaud. Aprè s ç a j'ai seulement bu des jus de fruits et des jus de tomates. Nous avons dansé, nous avons dî né. Heureusement que c'est Luc qui a payé l'addition. Aprè s avoir dî né, nous avons recommencer à danser. Nous dansions·toujours à 4 heures du matin lorsque la boî te a fermé ses portes. Je ne pouvais pas croire qu'il é tait cette heure-là.
2e partie Marie-Claire ré pond au té lé phone – Oui? Qui est-ce? – C'est moi, Paul. Tu as une drô le de voix. Je croyais que c'é tait quelqu’un d'autre. – C'est parce que je suis fatigué e. Je suis allé e au lit à 5 heures du matin. Et je me lè ve à l'instant. Je ne fais que bâ iller. – Tu en as de la chance. – Oh! Tu gé mis tout le temps. Si tu continues comme ç a, tout le monde va te fuir. – C'est bien le cas. Valé rie me fuit, mes parents me fuient. – Naturellement. Valé rie s'inté resse plus à Georges Louvier qu'à toi. – Mes parents, eux, passent toutes leurs soiré es soit au ciné ma, soit au thé â tre. Si seulement ils m'emmenaient avec eux. – Alons, alons, ne te plains pas. Tes parents croient que tu pré fè res ê tre seul. Et ils ont peut-ê tre raison. – Oui, mais c'est une question de principe. – Je suis navré e. Au fait, pourquoi est-ce que tu me té lé phones? – Maman m'a demandé d'acheter des fleurs pour une vieille amie à elle. Alors je voulais demander où aller. – Chez un fleuriste, tiens! Mais ta mè re ne peut pas y aller elle-mê me? – Non. Une fois de plus, elle est en train de faire des achats. L'ennui, c'est que je n'y connais rien en fleurs. Qu'est-ce que je vais acheter: des roses, du lilas, du muguet? – Achè te des roses, c'est la saison. Elles ne valent pas cher en ce moment. – Et puis papa me demande de faire les dé marches né cessaires pour louer une voiture. – Tu es trop jeune. C'est à ton pè re de faire ç a. – Il me demande aussi d'envoyer un té lé gramme au Canada. Je ne sais pas comment faire. Je n'ai jamais envoyé un té lé gramme de ma vie. – Tes parents te donnent toutes sortes de choses à faire. Qu'est-ce qu'ils font, eux? – Ils s'amusent. – C'est un peu fort. Ecoute, Paul, le week-end prochain laisse tomber tes parents et viens passer le week-end à la campagne avec Guy et moi. Nous allons chez un oncle qui a une proprié té. Ç a te plaî t? – Oh, oui! Terrible! Merci, Marie-Claire. – Viens chez moi. Je vais t'accompagner à la poste pour t'aider à envoyer ton té lé gramme. Au bureau de poste – C'est un té lé gramme pour l'é tranger. Il n'y a pas un formulaire spé cial? – Non. Alors, tu mets l'adresse là. – Là où ç a dit ‘destinataire’?
– Oui. Et é cris en majuscules. – Voilà, c'est fait. – Et maintenant, ton texte. – « Prolongeons... » Ç a s'é pelle avec un ‘e’? – Oui. – « Prolongeons sé jour en France 15 jours. Serons de retour fin du mois. Priè re de continuer soigner chat. Merci. Amitié. Signé Delon. » Oh, j'oubliais. J'ai une lettre à mettre à la poste. – Elle est urgente? – Oui. – Alors, je l'envoie au tarif normal. – C'est plus cher? – Oui. Mais la lettre arrive plus vite que si on l’envoie au tarif ré duit. – C'est trè s urgent. J'ai é crit à l'usine pour leur demander des renseignements sur un nouveau modè le de vé lo. 3e partie La vaisselle – Oh mon Dieu! Je n'ai pas d'argent pour payer l'addition. – Comment? Tu m'avais dit que tu avais ton portefeuille. – Je croyais que je l'avais pris. Mais je ne l'ai pas. Nous pouvons offrir de laver la vaisselle. – Ç a, non! A la maison c'est moi qui fais la vaisselle, mais quand nous sortons c'est à toi de la faire. Au revoir.
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