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Leçon 29 Vingt-neuvième leçon




Devoirs

1. É coutez l’enregistrement plusieurs fois. Lisez le texte en imitant le speaker.

2. Traduisez les mots et les expressions ci-dessous et apprenez-les.

un saule pleureur – плакуча іва

abattre un arbre

faire la cour

la volaille

ç a m’est é gal

atroce

un tournant

serrer à droite – триматися правої сторони

se disputer

se rafraî chir

faire les honneurs de la maison – показувати гостям свій дім

ouvrir la marche – тут йти першим

un menuisier

le verger

cueillir les fruits

payer qch à tempé rament – сплачувати в розстрочку

à fond – тут ретельно, повністю

3. É crivez le ré sumé du texte de la premiè re partie à la 3e personne et apprenez-le.

4. Ré sumez le contenu du dialogue de la deuxiè me partie par é crit.

 

Leç on 29 Vingt-neuviè me leç on

Le 14 juillet

1e partie

Demain, c’est la fê te

Ouf! Me voilà enfin de retour à Paris. Un week-end à la campagne, ç a va, mais ç a me suffit. Guy aurait voulu rester un jour de plus. Mon oncle é tait tout heureux d’avoir de la compagnie et cherchait à nous persuader de rester. Alors, j’ai me suis dé cidé e à employer les grands arguments. J’ai dit tout simplement: « Je suis dé solé e, mais je dois absolument rentrer à Paris demain. J’ai du travail à faire ». Mon oncle a tout fait pour essayer de me faire changer d’avis. J’ai dû tenir bon. Ç a a ennuyé Guy de devoir partir alors qu’il faisait si beau. Mais il a fini par admettre qu’il devait, lui aussi, rentrer aujourd’hui. L’oncle André a é té navré de nous voir partir. En ce moment il doit penser à nous. Il doit dire: « Les pauvres! Maintenant ils respirent l’air vicié de la ville, pendant que moi, je suis là au grand air ». Je devrais lui é crire aujourd’hui pour le remercier de son bon accueil. Mais je suis dé jà ré prise par toutes mes occupations. Je lui enverrai une lettre de remerciement demain. J’y pense! J’aurais dû l’inviter à venir nous voir. Je le ferai par lettre. Il est utile de dire que Luc s’est plu à « Plein Champ » et que Paul s’est bien amusé avec le vieux vé lo qu’il a trouvé. Moi, je me suis distraite comme j’ai pu. Plus j’y pense, plus je me rends compte que je ne suis pas faite pour vivre à la campagne. Je pourrais peut-ê tre, au besoin, vivre dans une ville de province. Ouf! Et encore, demain, c’est le 14 juillet, jour de la fê te nationale. Ce jour-là, disent les livres d’histoire, le peuple de Paris se ré volta contre la tiranie royale, les Parisiens attaquè rent la Bastille et finirent par s’en emparer. Le 14 juillet 1789 marqua le dé but de la Ré volution franç aise. Ne pensons plus à tout ç a. Demain, c’est la fê te. Il va y avoir des dé filé s dans les rues, des bals en plein air, des feux d’artifice. J’ai hâ te d’ê tre à demain. Plus je vieillis, plus je veux m’amuser.

2e partie

Sur les Champs-Elysé es

– Je vous demande pardon, Madame. Je vous ai marché sur le pied.

– Il n’y a pas de mal... Excusez-moi, monsieur. Est-ce que je peux passer?

– Faites, je vous en prie.

– Il n’y a plus de moyen d’avancer.

– J’é touffe. Je ne vais absolument rien voir avec cette foule.

– Je t’en prie, Paul. Tu ne vas pas te mettre à te plaindre. Ta mè re et moi, nous avons passé un week-end si agré able sans entendre tes plaintes.

– Si j’avais su, je serais resté à la campagne. Je regrette bien d’ê tre revenu.

– Tu as raison. Tu aurais dû terminer tes vacances tout seul.

– J’aurais pu, tu sais. M. Juliard m’a invité à rester dans sa ferme aussi longtemps que je voulais.

– Tu peux toujours y retourner si tu ne te plais pas en notre compagnie.

– C’est peut-ê tre moi qui vous dé range?

–Allons, allons. Vous n’allez pas vous disputer tous les deux. Pas un jour de fê te.

– Tiens, on dirait que c’est Marie-Claire là -bas.

– Oui, c’est elle. Je vais lui dire bonjour. Au revoir.

– Ouf! Tant mieux.

– Mais il va se perdre dans cette foule. Jamais il ne pourra nous retrouver.

– Tant pis. Il retrouvera bien le chemin de l’hô tel. C’est curieux. Plus il grandit, plus il devient insupportable. Nous sommes bien tranquilles sans lui.

– Allons, Olivier, un peu de patience. Tu n’es vraiment pas chic avec Paul.

– Ç a y est, c’est bien ç a. Non seulement je dois supporter ce garç on, mais je dois te supporter, toi.

– Mais je n’ai rien dit de mal.

– Ç a, par exemple. Tu m’accuses de ne pas ê tre patient avec ton fils, tu m’accuses de...

– Allons, allons. Profitons de cette belle journé e.

– Quelle journé e? Ton fils saisit la premiè re occasion pour nous quitter. Quant à ta fille, elle pré fè re passer la journé e avec un é tranger plutô t qu’avec ses parents.

– Allons, Olivier. Tu sais bien qu’elle est heureuse avec Georges. Georges n’est plus un é tranger maintenant.

– Tu crois qu’elle va vouloir rentrer à Qué bec?

– Nous verrons bien.

– Ç a lui fera certainement de la peine de repartir.

– Sans doute. Qui sait? Il y a peut-ê tre un mariage qui se pré pare.

– Tu crois?

– J’en suis sû re. Et je souhaite que ma fille trouve un aussi bon mari que le mien.

– Merci du compliment. Alors, qu’est-ce qu’on fait?

– Attendons le dé filé. Et aprè s promenons-nous au hasard dans Paris. Et ce soir nous regarderons les feux d’artifice. Nous admirerons la derniè re fois les monuments de Paris. Et nous danserons dans la rue.

3e partie

Pourquoi ê tre si fatigué ?

– Plus je travaille, moins je ré ussis.

– C’est bien simple. Travaille moins!

Qui paiera le marchand de journaux?

– Excuse-moi, maman. Tu m’avais donné deux francs pour m’acheter des gâ teaux et deux francs pour payer le marchand de journaux.

– Oui, et alors?

– Pendant que je parlais avec Georges, j’ai perdu les deux francs du marchand de journaux.

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