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Leçon 28 Vingt-huitième leçon




Devoirs

1. É coutez l’enregistrement plusieurs fois. Lisez le texte en imitant le speaker.

2. Traduisez les mots et les expressions ci-dessous et apprenez-les.

une voiture de sport

une voiture dé capotable – автомобіль із відкидним верхом

valoir

une voiture d’occasion – вживаний автомобіль

ne pas avoir d’ennuis avec qch

prendre soin de qch

ré parer

un garagiste – власник гаража, автомайстерні

avoir beau dire qch à qn

il n’y a rien à craindre

un accident de voiture

bavarder en conduisant

rendre qn furieux

le panier en osier – плетений кошик

par-dessus le marché

s’impatienter

ê tre mort(e) de peur

faillir faire qch

un impermé able

la mé té o

la brume

des degré s centigrades – градуси Цельсія

sain et sauf

3. É crivez le ré sumé du texte de la premiè re partie à la 3e personne et apprenez-le.

4. Ré sumez le contenu du dialogue de la deuxiè me partie par é crit.

 

 

Leç on 28 Vingt-huitiè me leç on

Chez l’oncle André

1e partie

M. André Juliard se pré sente

Je suis l'oncle de Marie-Claire et de Guy. Je vous parle de ma ferme en Auvergne. Ma ferme est entouré e de champs que traverse une petite riviè re. La riviè re est bordé e d'arbres qui se reflè tent dans l'eau. J’adore les arbres. Il y avait un magnifique saule pleureur au bord de la riviè re à cô té d'un petit pont. Mais ses racines menaç aient les fondations du pont. Je l'ai fait abattre. Mais je ne me le pardonne pas. J'approche de la cinquantaine. Quand je me regarde dans la glace, je me dis: « Encore une dizaine d'anné es et ce sera la vieillesse, mon garç on ». Je vis seul. Mais j'ai de bons voisins. Naturellement quand la solitude me pè se un peu, je me parle à moi-mê me ou à mes bê tes, en particulier à mon chien. Mé dor et moi, nous nous parlons l'un à l'autre et nous nous comprenons. Je suis convaincu qu'un homme et une bê te peuvent se comprendre. Dans tous les cas, il ne fait aucun doute que les bê tes se comprennent. Elles se parlent, elles s'appellent comme le font des ê tres humains. Comme des ê tres humains elles se battent, elles se font la cour. Ma ferme se trouve à quelques kilomè tres de Clermont-Ferrand. J'y vais tous les samedis pour porter de la volaille et des lé gumes au marché. En ce moment les lé gumes se vendent pour presque rien. Mais ç a m'est é gal. Je vais quand mê me au marché. Ç a me fait sortir. J'ai oublié de vous dire le nom de ma ferme. Elle s'appelle « Plein Champ ».

Il m'arrive de m'ennuyer. Si je m'arrê te de travailler, si je m’assois et si je me mets à penser, alors je me rappelle l'atroce accident d'il y a 15 ans. Je ne vous le raconterai pas en dé tails. Ma soeur, son mari et moi é tions dans ma voiture. Nous nous promenions. J'é tais au volant. A un tournant, une voiture est arrivé e en sens inverse. Le conducteur ne serrait pas à droite. Ma soeur et mon beau-frè re, c'é taient M. et Mme Martin, les parents de Marie-Claire et de Guy, que j'attends d'une minute à l'autre. Ils viennent assez souvent passer le week-end chez moi. Et ils m’amè nent quelquefois leurs amis.

2e partie

Soyez les bienvenus

– Vous avez fait un bon voyage?

– Excellent.

– Vous avez é té prudents, j'espè re?

– Nous n'avons pas passé le cent.

– Oh, ne mens pas. Je regardais le compteur et tu as fait du 110. Il est inutile d’essayer de me mentir.

– Ce n'est pas vrai.

– Allons, vous n'allez pas vous disputer. Vos amis veulent certainement se laver et se rafraî chir un peu. Marie-Claire, va leur montrer leurs chambres.

– Mais non, c'est à toi de leur faire les honneurs de ta maison. Montre-leur le chemin.

– Mais vous vous ê tes arrê té s, j'espè re?

– Oui, nous nous sommes arrê té s à moitié chemin et...

– Bon, alors j'ouvre la marche.

– Vous ê tes trè s bien installé, M. Juliard.

– Oh, vous savez, c'est loin d'ê tre parfait. J'aime bricoler.

– Mon oncle fait tout lui-mê me. Il est à la fois cultivateur, jardinier, menuisier, cuisinier.

– Et mê me boulanger. Je fais mon pain moi-mê me. Mais vous savez, quand on fait tout soi-mê me, on n'a pas le temps de tout faire.

– Naturellement.

– Alors, servez-vous, mangez les bons fruits de mon verger cueillis par moi ce matin mê me.

– Ç a doit ê tre merveilleux de cueillir ses fruits soi-mê me.

– Ah comme ç a, vous ê tes sû rs qu'ils sont frais. Quelquefois je vais manger mon dessert sous l'arbre. Je cueille ma poire, je m’assois, je la mange et je m'endors.

– J'aimerais passer mes congé s dans une ferme comme ç a.

– Vous finiriez peut-ê tre par vous ennuyer.

– Qu'est-ce que je vois là dehors?

– Où, ç a?

– Regardez là, par la fenê tre.

– Ah! C'est un vieux vé lo. Il a au moins 50 ans.

– Il a l'air formidable. Il est à vous?

– Oui, mais je ne m'en suis jamais servi. Je faisais du vé lo quand j'é tais jeune. J'é tais sportif. Mais ce vieux vé lo appartenait sans doute aux anciens proprié taires. Ils ont laissé toutes sortes de vieilles choses quand ils ont dé mé nagé. Ils ont mê me laissé des quantité s de meubles anciens, dont certains ont sans aucun doute beaucoup de valeur.

– Est-ce qu'il marche encore?

– J'en doute. Il est au vent et à la pluie depuis si longtemps. Tout doit ê tre usé.

– Je vais aller le regarder.

– Je me doutais bien que tu voudrais aller le voir.

– Il s'inté resse aux bicyclettes?

– Oui, c'est sa passion.

– Luc, venez!

– Quoi, qu'est-ce qu'il y a?

– Devinez, quelle est la marque du vé lo?

– Je ne sais pas, moi.

– C'est un " Cyclotourisme". Il est en é tat de marche.

– Eh bien, quelle ré clame pour votre usine, Luc!

3e partie

Quelle occasion!

– C'est une excellente marque. Elle n'est pas neuve, mais 15 mille francs pour une voiture comme ç a, c'est une affaire.

– Tu crois?

– C'est certain. Et puis nous la payerons à tempé rament.

– Tu es sû r de ne pas avoir d’ennuis avec une voiture d'occasion?

– Pas avec celle-là. Je fais confiance au garagiste qui me la vend.

– Oh, alors ç a va.

– Il y a seulement deux ou trois petites choses à changer pour la rendre absolument parfaite. Et le garagiste m'a dit que le plus simple ce serait de faire changer le moteur. Ç a coû terait moins cher que de la faire ré viser à fond.

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