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Leçon 27 Vingt-septième leçon




Devoirs

1. É coutez l’enregistrement plusieurs fois. Lisez le texte en imitant le speaker.

2. Traduisez les mots et les expressions ci-dessous et apprenez-les.

aller de mal en pis

au volant de sa voiture

s’inscrire à une auto-é cole

un moniteur – тут інструктор

connaî tre qch comme sa poche

passer son permis de conduire

ê tre reç u(e) à l’examen

é chouer

changer de vitesse

freiner

faire marcher le clignotant – включати покажчик повороту

regarder dans le ré troviseur

les panneaux (m, pl) de signalisation – панель приладів, приладна дошка

un excè s de vitesse – перевищення швидкості

rouler en sens interdit – їхати в забороненому напрямку

brû ler, griller les feux rouges – їхати на червоне світло

une contravention – штраф

le retrait du permis – позбавлення прав водія

un passage clouté – пішохідна доріжка, перехід

tomber en panne d’essence – пустий бак, закінчився бензин

crever – тут пробити колесо

une station-service – станція техобслуговування

une pompe à essence – бензоколонка; тут заправка

une roue de secours – запасне колесо

le coffre – тут багажник

se garer

stationnement interdit

dresser une contravention à qn – скласти протокол, оштрафувати

l’eau bout (inf. : bouillir)

3. É crivez le ré sumé du texte de la premiè re partie à la 3e personne et apprenez-le.

4. Ré sumez le contenu des dialogues de la deuxiè me partie par é crit.

 

 

Leç on 27 Vingt-septiè me leç on

Week-end à la campagne

1e partie

Guy Martin parle de sa voiture de sport

J’ai une voiture de sport dé capotable dont je suis trè s fier. C’est une bonne marque. J’aurais aimé acheter une voiture neuve, mais neuve elle valait 20 mille francs. C’é tait trop cher pour moi. Je l’ai payé e 15 mille francs d’occasion. On ne peut pas dire que c’é tait vraiment une affaire. Ç a fait un an que je l’ai. Et je n’ai, pour ainsi dire, pas eu d’ennuis avec. Naturellement, j’en prends soin. Je la fais ré viser ré guliè rement. Dè s qu’il y a quelque chose qui ne fonctionne pas bien, je la conduis au garage et je fais ré parer ce qui ne va pas. J’ai eu beaucoup de mal à trouver un garage convenable. Je croyais pouvoir faire confiance au garagiste qui m’avait vendu la voiture. Il m’avait fait bonne impression. Mais un jour il m’a trompé. Il m’a fait payer une ré paration qu’il n’avait pas faite. J’ai é té trè s dé ç u et, naturellement, j’ai changé de garage. Depuis, j’ai fait tous les garages du quartier. J’ai enfin trouvé un garagiste que je crois honnê te. Je lui fais faire tout ce qui est à faire. Je lui fais mê me nettoyer la voiture quand elle en a besoin. Marie-Claire n’est pas rassuré e quand je conduis. J’ai beau lui dire qu’il n’y a rien à craindre, elle a peur. Elle n’est pourtant pas nerveuse. Mais nos parents ont é té tué s dans un accident de voiture. Alors, je suppose que c’est naturel. Dè s que je fais du 100, elle commence à trembler. Si je bavarde en conduisant, elle ne fait que ré pé ter « Fais attention! Tu ferais mieux de te taire! ». Ç a me rend furieux. Je plains le mari de ma soeur si elle se marie un jour. Elle a une trè s forte personnalité et elle est trè s intelligente. J’aurais pré fé ré avoir une soeur un peu moins intelligente. Ah! Voilà Paul Delon et Luc Houbet. Nous les emmenons passer le week-end avec nous, chez mon oncle André qui a une proprié té à 400 kilomè tres de Paris. Nous y allons dans ma belle voiture.

2e partie

Guy Martin pré pare sa voiture

– N’oublie pas de faire de la place pour le panier en osier.

– Quel panier en osier?

– J’ai fait des sandwichs pour pouvoir pique-niquer en cours de route.

– Si on ne peut pas le prendre, on le laissera.

– Quand je pense au mal que je me suis donné ! Ç a ne valait vraiment pas la peine.

– Alons! Va chercher ton fameux panier. Cours!

– Et tu me demandes de courir par-dessus le marché !

– Mais non, c’est une faç on de parler. Ah! Voilà Paul et Luc.

– Allons, vite, courez. Guy s’impatiente comme d’habitude.

– C’est toi qui t’impatientes.

– Nous ne sommes pas en retard. Il est dix heures à la montre.

– Nous arriverons à quelle heure?

– Dans 4 heures environ. Marie-Claire veut pique-niquer en cours de route.

– Ah! C’est pour ç a. Parce qu’on doit pouvoir faire 400 kilomè tres en 3 heures avec une voiture comme ç a.

– Oui, facilement. Mais Marie-Claire est morte de peur si on va un peu vite. Moi, j’adore faire de la vitesse. Pas vous?

– Oh! Si! Surtout sur une autoroute. Mais je dois dire que je ne tiens pas à mourir.

– Bah! On ne meurt qu’une fois.

– Ah! Revoilà Marie-Claire avec le panier à provisions.

– Tu vois qu’il n’est pas si grand que ç a?

– Non, en effet. Je croyais que tu parlais de notre autre panier en osier.

– Tu penses bien que j’ai choisi le plus petit des deux.

– Fais-le-moi passer, veux-tu?

– Merci, Marie-Claire. Oh! J’ai failli le laisser tomber.

– Tenez, Guy.

– Merci, Paul. J’avoue que je n’aurais pas cru que mon coffre pouvait tenir tant de choses. Vous avez pris vos impermé ables?

– Ce n’est pas la peine d’en prendre. Il va faire beau.

– Ah, oui. Si seulement il faisait beau. Vous avez entendu les pré visions mé té orologiques?

– Oui. J’ai entendu unе mé té o à la radio. Brume matinale et aprè s tempé rature de 32 et mê me de 35 degré s à l’ombre.

– Ce n’est pas des degré s Fahrenheit comme au Canada?

– Non, bien entendu. C’est des degré s centigrades.

– Ç a fait combien en Fahrenheit?

– Quelque chose comme 90 degré s.

– Ç a va faire combien au soleil?

– Nous regarderons le thermomè tre en arrivant chez votre oncle.

– Moi, ç a me convient. J’aime la chaleur.

– Et voilà. Tout est prê t. Prenez vos places, messieurs-dames.

– Aprè s vous, Marie-Claire.

– Merci. Fermez bien votre portiè re, Luc.

– Oui, ne vous en faites pas.

– Tout le monde est à bord?

– Oui.

– Alors, en route. Oh, Marie-Claire, ne fais pas une tê te pareille. Nous arriverons sains et saufs, ne crains rien.

– Marie-Claire a vraiment si peur que ç a d’aller en voiture?

– Je dé teste ç a. La voiture me rend malade. J’aimerais mille fois mieux aller chez mon oncle par le train, ou mê me à bicyclette, plutô t que d’y aller en voiture.

– Pourquoi pas à pied, pendant que tu y es?

– Allons, Marie-Claire. Ne craignez rien. Si nous devons mourir, nous mourrons tous ensemble.

3e partie

Vous n’ê tes pas mort?

– L’autre jour je faisais du 150.

– Du 150?

– Oui, j’ai une voiture de sport. Donc, je faisais du 150 lorsque j’ai perdu une roue.

– Et vous n’ê tes pas mort?

– Je n’ai pas eu d’accident.

– Comment? A cette vitesse-là ?

– Non, c’est la roue de secours que j’ai perdue.

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