В придаточном сравнительном предложении. 20 глава
VIII) Эссе. Décrivez les réactions du public, lors d'un spectacle sportif, auquel vous
avez assisté (match de tennis, de foot bail, de boxe ou de catch).
СЛОВАРЬ
(Гнездо servir) Объясните значение слов и словосочетаний: Le patron
sert l'apéritif. — Dans les vieilles maisons le cordon du concierge sert à ouvrir la
porte d'entrée la nuit. — Pendant la maladie de Madame Dupont, c'est la dame
du rez-de-chaussée qui a servi de concierge. — Vous pouvez jeter ce vieux balai,
il ne sert plus. — Y a-t-il longtemps que Marie vous sert? — Oh, il y a dix ans
qu'elle est à notre service. — Vous rend-elle service? — C'est une servante
modèle, et les serviteurs parfaits sont de plus en plus rares. — Resservez donc du
potage à Madame. — Maintenant vous pouvez desservir, nous avons fini notre
repas. — Par votre maladresse vous avez desservi votre ami. — Au restaurant, ce
sont des serveurs ou des serveuses qui font le service. — Nous avons des voisins
gentils et serviables, ils nous rendent toutes sortes de services.
ЗАМЕЧАНИЯ ОБ УПОТРЕБЛЕНИИ ОТРИЦАТЕЛЬНЫХ ЧАСТИЦ
I — в основном, для выражения отрицания используют частицы ne... pas.
II. — Частица pas НЕ УПОТРЕБЛЯЕТСЯ, если частица ne сопровож-
дается такими словами, как: personne, rien, aucun, jamais, nulle part,
nullement, стоящими ПЕРЕД глаголом или ПОСЛЕ него: Personne ne vient.
— Je ne vois rien. — II ne rit jamais. — Jamais il ne rit. — Je ne l'ai vu nulle
part. — Nulle partie ne l'ai vu. — Ce n'est nullement votre affaire.
III. — Частица ne может употребляться отдельно в следующих выраже-
ниях: Je ne saurais vous le dire (вежливое извинение). — N'importe (= il
n'importe pas). — II ne dit mot (= pas un mot). — Je ne sais que faire (= quoi
faire, см. стр. 216).
Je n'ose vous donner un conseil. — Qui ne connaît cette histoire? (= после
вопросительного местоимения qui). — Elle ne m'écrit jamais, si ce n'est (=
sauf) pour demander de l'argent! — Depuis que je ne t'ai vu, il s'en est passé,
des choses! (= depuis la dernière fois que je t'ai vu). — Il у a longtemps que je
ne t'ai vu (= je ne t'ai pas vu depuis longtemps).
IV. — Частица ni. Обычно говорят: Je ne bois pas de vin, ni de bière. Je
ne bois ni vin, ni bière. Но если в предложении содержится несколько
глаголов, употребляется другая конструкция: Je ne le vois ni Inel l'entends.
V. — Отрицательная частица non plus («plus» произносится отрыви-
сто) означает: тоже нет, тоже не..:
Je le vois AUSSI неJe ne le vois pas non plus.
Tu viens? Moi AUSSI не Tu ne viens pas? Moi non plus.
VI. — Ne... que (= только, лишь) всегда обрамляет глагол:
Il boit SEULEMENT DU VIN. — // ne boit que du vin.
VIL — Ne... plus («plus» под ударением: plu) означает окончательное
прекращение: Il ne viendra plus.
ТЕКСТ 75
QUAND LE PEUPLE FAIT GRÈVE...
Les embarras de M. Dupont et de Madame, privés hier d'électricité,
furent innombrables. Quand son réveil a sonné, comme d'ordinaire, vers 6
heures du matin, M. Dupont a naturellement cherché l'interrupteur de sa
lampe de chevet1. Pas de lumière. Encore des plombs2 sautés, se dit-il,
oubliant la grève, pourtant annoncée la veille. Craquant des allumettes, i!
fut voir son compteur. La mémoire lui revenant, mais non la lucidité, il
voulut faire sa tasse de café. Il n'eut d'autre ressource que de chercher.
relégué3 au fond d'un placard, l'antique instrument qu'on tourne à la main.
Cependant, il tentait de faire chauffer de l'eau: le gaz ne lui accordait
qu'une flamme avare; il était résolu déjà à boire, en place de café, une
tiède eau noirâtre, quand il pensa à se raser: comment se raser, avec ce
beau rasoir qui, lui aussi, se nourrit d'électricité? Il fallut de nouveau
bouleverser le placard aux vieilleries, afin de récupérer le vieux blaireau,
la lame ébréchée qui, finalement, ne purent remplir leur office — parce
que l'on avait jeté le tube de crème nécessaire à leur efficacité
Maugréant4, et en retard, M. Dupont dévala son escalier.
«Par ici! lui intima la voix de sa concierge. Vous passerez pour sortit
par la fenêtre de ma loge, comme tout le monde. L'ouvertim
automatique de la porte ne fonctionne pas!»
M. Dupont se rua vers le métro. La grille en était fermée.
«Suis-je bête!» grogna-t-il.
Les autobus étaient pris d'assaut, on se battait autour des taxis, les
automobilistes, ne sachant où donner de la tête5, donnaient du klaxon
pour apaiser leurs nerfs. M. Dupont, de Paris, put tout de même se
rendre compte qu'il avait de la chance, car, dans d'invraisemblables
équipages, commençaient de débarquer à Paris les banlieusards des
lignes électrifiées, inutilisables depuis l'aube. M. Dupont s'en fut à pied
à son bureau qu'il trouva plongé dans une semi-obscurité propice à la
rêverie. Alors, il imagina les malheurs de tous les autres Dupont et, se
croyant au terme de ses peines, se prit à sourire:
«Ce vieux Z, qui avait justement pris rendez-vous au garage pour
faire ressouder son pot d'échappement6 arraché, l'aurait belle7. (...) Les
X, si fiers de leur chauffage électrique, devaient, frileux comme ils le
sont, grelotter. Quant à B, ce fainéant qui passe sa vie dans les bars,
à jouer à l'appareil à sous et à tourmenter le tourne-disque, il n'aurait
même pas la ressource d'aller au cinéma. Car les salles de projection
étaient fermées.» Un coup de téléphone interrompit les imaginations de
M. Dupont. Mme Dupont lui téléphonait. Chose inusitée, donc grave.
«Il faudrait que tu essaies de déjeuner au restaurant, disait une voix
éplorée. Tu sais que le frigidaire est arrêté. Tout a tourné8, là-dedans.
Le gaz ne revient pas. Les boulangeries, dont le four était électrique,
n'ont pas de pain. Et je te connais, tu es difficile. Je vais profiter de ton
absence pour aller chez la teinturière pour un coup de fer à ton pantalon
neuf, et j'irai acheter le chandail bleu dont tu as tellement besoin!»
M. Dupont fut donc au restaurant, qui était pris d'assaut et
n'offrait pour tout potage9 que du jambon et des biscottes, servis
dans une louche pénombre °. Il apprit là, par les conversations
générales, que les cotes de la Bourse, ne pouvant être établies par
les machines, étaient retardées: même manège11 aux courses; que
les journaux étaient menacés de ne pas paraître; que l'horloge
parlante était artificiellement soutenue par des batteries; que les
dentistes s'arrachaient les cheveux devant leur roulette inerte; que,
chez les rôtisseurs, les poulets, désespérément crus sur les broches
immobiles, narguaient l'appétit des passants; que des usines
restaient inactives; que, sur le carreau des Halles, des monceaux
d'arrivages étaient restés, faute de lumière pour les mettre en
place. (...)
Vers 5 heures, dans le bureau de M. Dupont, il faisait si noir qu'il
renonça à travailler. Ainsi put-il surprendre Mme Dupont, retour12 de
ses courses, qui, ayant déniché une boîte de bougies, en avait allumé
une, ce qui donnait à l'appartement un faux air de Noël. Cependant,
Mme Dupont n'avait pas son air ordinaire.
Ses cheveux pendaient sur ses joues, sa bouche avait une drôle de
forme: elle venait de se remaquiller au jugé13
«Je voulais te faire une suiprise, dit-elle d'une voix navrée. Avec des tas
de petites casseroles d'eau, je me suis lavé les cheveux. Puis j'ai été chez
Georges14 pour une permanente. J'avais oublié, l'appareil ne marchait pas.
«C'est comme pour ton costume: il n'y avait pas de «coup de fer»
aujourd'hui. A propos, c'était le jour de la blanchisseuse. Si tu veux
demain une nouvelle chemise, elle ne sera pas repassée».
D'un ton gentil:
«ais je t'ai acheté ton beau chandail bleu!»
Tard, la lumière revint; le chandail était vert, une couleur que
M. Dupont déteste!
Georges Sinclair. Combat.
Примечания:
1. Лампа у изголовья, ночник {Chevet a le même radical que chef: chef signifie
originairement tête). 2. Пробки предохранителя. З. Пренебрежительно засунутый
4. Ругаясь и ворча (même radical que malgré = mauvais gré: M. Dupont agit de
mauvais gré). 5. Разг. Не зная, что делать, как проехать. 6. Глушитель. 7 Aurait une
belle situation (иронич.). 8. Продукты испортились. 9. Разг. Из еды, поесть. Часто
мюфебляется в значении: всего-навсе!о. 10. Полумраке. 11. То же самое, та же
шпация 12. Abiéviation cornante pour: de retour. 13. Наугад (можно также сказать
и, i eut bonheur). 14. Парикмахеров обычно называю! но имени.
СЛОВАРЬ
(Существительное lumière/ Объясните значение слов: Voulez-vous
allumer l'électricité? — La salle de l'Opéra est éclairée par un lustre
immense. — Je n'avais pour m'éclairer qu'un misérable lumignon, une vieille
chandelle de suif. — Les plus beaux monuments de Paris sont illuminés la
nuit. — // était fort embarrassé. Soudain une idée lumineuse lui vint
à l'esprit. — Voltaire vivait au siècle des «lumières». — Une lueur d'intelli-
gence éclaira enfin son regard. — II a bu, il n'a pas l'esprit bien lucide. — La
lucidité est une des plus belles qualités de l'esprit. — Cette affaire est obscure:
nous allons /"élucider. — Ce manuscrit ancien est orné d'enluminures déli-
(ates. — Ma voiture ne voulut point démarrer: panne d'allumage, ma batterie
(- mes accumulateurs) était à plat! — Le plantuteux repas avait allumé les
visages.
XII
МОНПАРНАС
ТЕКСТ 76
MONTPARNASSE
Le quartier Montparnasse est à cheval sur le 6-e et le 14-e arrondis-
sement.
(...) Il est traversé de l'ouest à l'est par le boulevard Montparnasse,
qui constitue son épine dorsale, et qui en est l'expression la plus
vivante. (...)
Le Montparnasse que nous avons connu avant la guerre de 1914
prenait déjà son caractère et tout semblait indiquer que l'avenir allait lui
appartenir. Bien des artistes de Montmartre avaient passé les ponts. La
Rotonde n'était encore qu'un bar populaire, mais déjà renommé pour ses
«appareils à sous», rangés autour du comptoir. (...) On y voyait parfois
Lénine et Trotsky prendre leur café-crème, tandis que Modigliani, qui
.avait quitté la Butte, accueillait avec des cris de joie Utrillo quand
celui-ci venait lui faire visite. Il s'ensuivait des soirées tumultueuses,
chacun des deux peintres présentait l'autre comme celui qui savait le
mieux boire; cela se terminait, après maints incidents, aux postes de
police. (...)
Montparnasse était un mot qu'on baragouinait1 dans toutes les
langues, autant que le Moulin-Rouge ou les Folies-Bergère. Des tribus
se réunissaient autour d'une table... Cache-nez, chandails, vieilles
pelisses, chapeaux de cow-boys et chemises de couleur largement
échancrées au col, visages fardés, brasnus, cheveux rasés sur la nuque,
bas de soie ou gros bas de laine sportifs. Il y avait de tout, bouffons
ventrus2 à lunettes, maigres échalas3, types de professeurs besogneux
ou de chimistes révolutionnaires; personnages singuliers et dont la
réunion devint une assemblée prodigieuse.
Tout cela grouillait, papotait5, jacassait dans le bruit des soucoupes
et des cuillers, le choc des verres sur la table, les appels aux garçons, le
brouhaha ronronnant de mille conversations. On parlait peinture et
brocante6. On se battait quelquefois.
(...) Pour être moins spectaculaire7, la vie de Montparnasse n'en
continue pas moins et les artistes y ont leur place. Les académies8 sont
toujours très fréquentées par des élèves étrangers et français. Le cours
de croquis, tous les jours en fin d'après-midi, attire un monde très divers
où les professionnels se rencontrent avec les amateurs. Tous les lundis
matin, se tient, rue de la Grande-Chaumière, le marché aux modèles
qui ne manque pas de pittoresque.
ANDRÉ WARNOD. Paris tel qu'on l'aime.
214
Примечания:
1. Коверкают, неверно произносят. 2. Пузаны шутовского вида. 3. Разг. Тощие
и длинные, как жерди. 4. Безденежные, нуждающиеся учителя. 5. Разг. Болтает,
судачит, сплетничает. 6. Старье, барахло; зд. недорогой антиквариат. Le
brocanteur fait commerce de ces objets. 7. Quoiqu'elle, offre un spectacle moins
étonnant... 8. Школы живописи и студии, которыми руководят известные
художники. 9. Натурщики и натурщицы.
ТЕКСТ 77
CATACOMBES
Ce sont d'anciennes carrières, aujourd'hui recouvertes par le quartier
Montparnasse et le Quartier latin. Au XVIII-e siècle on y transporta les
ossements des cimetières parisiens.
«Nous devons maintenant, dit Gunnar1, voir Catacombes.»
Si les Catacombes étaient à Florence, M. Daninos les aurait sans doute
déjà visitées trois fois. Mais, habitant Paris depuis quarante ans, il ne les
connaissait pas encore. (Il se rappelait seulement qu'un jour — il avait sept
ans — son père lui dit: «Si tu es sage, je t'emmènerai dimanche, aux
Catacombes». Il ne dut pas être sage, car il n'y avait jamais mis les pieds.)
Mes hôtes essayèrent bien de détourner Gunnar de son projet.
«Si nous allions plutôt prendre un verre sur la place du Tertre»?2
Mais non. Les étrangers ont quelquefois des idées fixes. Gunnar
voulait ses Catacombes. Allez donc faire perdre le nord à un Suédois!3
«C'est facile, lui dit son hôte, je vais vous y conduire.»
Avouer ne pas connaître les Catacombes, pour un Parisien, c'est
vexant. Mais ne pas savoir même où aller les chercher, c'est épouvant-
able. Sous prétexte d'acheter des cigarettes, mon collaborateur et ami
s'éloigna un instant, disparut, avisa un agent.
«Dites-moi, pour aller aux Catacombes?» L'agent réfléchit, hésita,
sortit son mémento4. Ils se seraient serré la main. Entre Français5.
Pierre Daninos. Carnets du Major Thompson. Hachette.
Примечания:
1. Швед Гуннар Свенссон и парижанин г-н Данинос - друзья майора Томпсона,
англичанина, от имени которого ведется повествование. — Гуннар просит г-на
Даниноса показать ему Катакомбы, где, якобы, некогда было кладбище первых
христиан. 2. Площадь на Монмартре. 3. Jeu de mots: perdre le nord, c'est être
désorienté, embarrassé. 4. Речь идет о маленьком справочнике по Парижу, какие
носят при себе полицейские. 5. Полицейский и г-н Данинос признали друг в друге
соотечественников, поскольку ни тот, ни другой ничего не знали о Катакомбах!
ГРАММАТИКА__________________________
ПРИДАТОЧНЫЕ ПРЕДЛОЖЕНИЯ В РОЛИ ПОДЛЕЖАЩЕГО
(LES PROPOSITIONS SUBORDONNÉES SUJETS)
I. — Сложное союзное предложение с союзом «que»
1. После безличных глаголов и глагольных словосочетаний, выража-
ющих:
— достоверность, вероятность, очевидность (глагол как правило,
в indicatif или, если это требуется по смыслу, — в conditionnel)
II est certain qu'il viendra // est certain qu'il viendrait, si tu l'invitais
(Об употреблении глагольных словосочетаний il semble que, il me
semble que, см. стр. 170).
— сомнение, возможность, мнение или чувство (глагол, как правило,
в subjonctif: см. стр. 170)
// est possible QUE LES CATACOMBES AIENT SERVI DE CIMETIERE AUX
CHRÉTIENS.
(Ho. il est PROBABLE que les Catacombes parisiennes FURENT d'abord des
carrières.)
2. В начале предложения, нередко с указательными местоимениями
се или cela:
QUE BEACOUP DE PARISIENS N'AIENT JAMAIS VU LES CATACOMBES, (c') est
certain.
В данном случае, в придаточном предложении используется subjonctif,
независимо от значения глагола в главном предложении.
// — Инфинитивные предложения.
AVOUER NE PAS CONNAÎTRE LES CATACOMBES, c'est vexant Mieux vaut NE
PAS L'AVOUER*
* Вопрос о номинации предложений, которые мы называем инфини-
тивными, остается спорным. — В данном случае, это название имеет лишь
формальное значение
Ш. — Относительные придаточные предложения, стоящие в
начале фразы и вводимые:
— местоимением qui без антецедента- QUI vivra verra
— неопределенным относительным местоимением quiconque (= каж-
дый; всякий, кто)'
QUICONQUE VISITE LES CATACOMBES en garde un souvenu durable
N.B.— Придаточное предложение может также выступать в роли
именной части сказуемого:
Например: Mon bonheur est DE VOUS AIDER — Mon opinion est qu'XL
VIENDRA
Но такие предложения очень близки по смыслу к придаточным предло-
жениям в роли подлежащего с инверсией. (= Vous aider est mon bonheur.)
УПРАЖНЕНИЯ
I) Подчеркните придаточные предложения, выступающие в роли подлежа-
щего в следующих фразах, и определите, к какой категории относится каждое из
них // se peut que, dimanche prochain, nous allions visiter le château de Versailles —
Que Gunnar ait envie de voir les Catacombes, c'est certain — Qui veut faire perdre le
Nord à un Suédois perd son temps — A ller se promener aux Catacombes par un beau
dimanche de pi intemps, c'est gâcher sa journée II est alors plus profitable de faire un
tout au Bois de Boulogne — // est probable que l'agent ne sait pas où se trouvent les
Catacombes — Quiconque n'est jamais allé à Florence ne peut imaginer les trésors de
cette ville d'art — Savoir se servir d'un plan est indispensable, si l'on ne veut pas
s'égarer dans Pans.
II) Составьте шесть фраз с придаточными предложениями в роли подлежа-
щего. Для ввода придаточных используйте следующие словосочетания // est
douteux que, il est nécessaire que, il est possible que, il est étonnant que, il est vrai
que, il est probable que
III) Преобразуйте полученные фразы таким образом, чтобы придаточное пред-
ложение, начинающееся с местоимения que, стояло в начале фразы, а слово-
сочетания, данные в упражнении II, вводитесь указательными местоимениями се
или cela.
(Напр II est vrai que nous ne connaissons pas toujours très bien notre propre
ville — Que nous ne connaissions pas toujours tres bien notre propre ville, cela est
vrai)
IV) Объясните структуру следующих изречений Qui veut voyager loin,
ménage sa monture (Расин) — Quiconque a beaucoup lu peut avoir beaucoup retenu
(Лафонтен) — Qui terre a, guerre a — Qui sert bien son pays n'a pas besoin d'aïeux
(Вольтер) — Qui creuse la fosse y tombera — Qui n'est que juste est dur, qui n'est
que sage, est triste (Вольтер)
V) Поставьте глаголы в скобках в нужное время и наклонение, которые
можно использовать в предложении для выражения условия (imparfait de l'indica-
tif и conditionnel présent) — // est certain que, si M Daninos (être) Suédois, il
(connaître) depuis longtemps les Catacombes — Quiconque irait trop souvent au
théâtre (finir) par s'en dégoûter — II est probable que, si le petit Paul (se tenir) sage,
son père /'(emmener) au cinéma. — Qui pourrait surprendre l'agent en faute s'en
(réjouir) fort — il est sûr que, si je (visiter) Montparnasse, je m'en (revenir) pas déçu
VI) Выполните то же задание, используя для выражения условия глаголы в
plus-que-parfait de l'indicatif и conditionnel passé.
VII) Эссе. Vous avez probablement vu, soit dans votre pays, soit à l'étranger, des
expositions de peinture Décrivez les attitudes des visiteurs
HISTOIRES DE PEINTRES
Le quartier Montparnasse fut, de la fin du XIX-е siècle jusque vers
1930, le point de contact des peintres du monde entier. — Aussi avons-nous
réuni dans ce chapitre quelques anecdotes concernant les peintres d'alors,
que leur domicile fût ou non, à Montparnasse.
ТЕКСТ 78
L'ATELIER DE DEGAS1
... On y voyait les objets les plus disparates2. A côté d'une baignoire,
un lit-cage3, et, dans un coin, une commode dépourvue de tiroirs. Je me
rappelle aussi un de ces hauts pupitres faits pour supporter les
antiphonaires4 et sur lequel le peintre dessinait debout. Ça et là, sur des
chevalets, des toiles inachevées. Un objet une fois entré dans l'atelier,
non seulement il n'en sortait plus, mais il ne changeait j amais de place.
«J'aime l'ordre», aimait à dire Degas au milieu de ce capharnaum5.
Je lui avais apporté, un jour, un tableau, qu'il m'avait demandé
à voir6. Comme je défaisais le paquet, un petit fragment de papier, pas
plus gros qu'un confetti7, voltigea et alla se fixer dans une rainure du
parquet. Degas se précipita:
«Faites attention, Vollard, à ne pas mettre du désordre dans l'atelier.»
Quand nos relations furent devenues plus fréquentes, je me risquai à
inviter Degas à dîner:
«Volontiers, Vollard: seulement, écoutez-moi bien. Il y aura pour
moi un plat sans beurre. Pas de fleurs sur la table. Très peu de lumière...
Vous enfermez votre chat, je sais, et personne n'amènera de chien. Et
s'il y a des femmes, priez-les de ne pas se mettre d'odeurs... Des
parfums! quand il y a des choses qui sentent si bon! le pain grillé par
exemple... Et on se mettra à table à sept heures et demie précises.
— Vous savez. Monsieur Degas, que si l'on en vient à dîner de plus
en plus tard, c'est que les dames cherchent toutes à arriver la dernière
pour ne pas manquer leur entrée».
Et je hasardai quelques considérations sur les exigences de la mode.
Degas me prit le bras:
«Je vous en prie, Vollard, ne dites pas de mal de la mode. Vous
êtes-vous jamais demandé ce qui arriverait s'il n'y avait pas la mode?
A quoi les femmes passeraient-elles leur temps? De quoi parleraient-
elles? Ce que8 la vie deviendrait impossible pour les hommes! C'est-à-
dire que si les femmes voulaient s'affranchir des règles de la mode, il
faudrait que le gouvernement y mît bon ordre».
La vie de Degas était réglée comme une horloge. C'était l'atelier le
matin, l'atelier l'après-midi. Quand ça venait bien9, il fredonnait généra-
lement un air ancien; on entendait sur le palier des bouts de chanson:
Sans chien et sans houlette
J'aimerais mieux garder cent moutons dans un pré
Qu'une fillette
Dont le coeur a parlé...
AMBROISE VOLLARD. Souvenirs d'un Marchand de Tableaux..
Примечания:
1. Его мастерская находилась тогда на правом берегу Сены. 2. Разнородные, не
соответствующие друг другу. Можно также сказать: hétéroclites. 3. Металлическая
кровать, которая в сложенном виде похожа на клетку. 4. Церк Книга антифонов,
часослов. 5. Разг. Хаотическое нагромождение вещей (Капернаум — древний
город в Палестине). 6. Следует различать: demander à voir = prier défaire voir —
demander de voir = prier de voir. 7. Конфетти. 8. Ce que: = combien!. 9. Когда он
был доволен сделанным.
ГРАММАТИКА___________________________
ПРИ ДАТОЧНЫЕ ПРЕДЛОЖЕНИЯ
В РОЛИ ДОПОЛНЕНИЙ
(LES PROPOSITIONS SUBORDONNÉES
COMPLÉMENTS D'OBJET)
Вопросительные предложения, вводимые наречиями: si,
pourquoi, quand, comment, и т.п. (косвенный вопрос).
1. С глаголом в indicatif (или, если это требуется по смыслу,
в conditionnel):
Un lit-cage? — Dites-moi CE QUE C'EST et COMMENT ON S'EN SERT.
Je me demande DE QUOI PARLERAIENT LES FEMMES, s'il n'y avait pas les
chapeaux.
Ho: Degas demandait À QUELLE HEURE ON SE mettrait à table (= «A quelle
heure se mettra-t-on à table?») Здесь идет речь о будущем времени
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